Santé mentale et cognitive tout au long de la vie
30 mai 2024 — 12 h à 13 h
Description de l'événement
Venez à la rencontre de deux de nos membres du corps professoral pour en apprendre plus sur leurs intérêts de recherche en lien avec la santé mentale et cognitive tout au long de la vie, mais aussi pour mieux comprendre leur rôle au sein de la Faculté et explorer des opportunités de collaboration.
Panélistes
Harriet Greenstone
Professeure auxiliaire et psychologue
Harriet Greenstone est une psychologue travaillant avec des enfants, des adolescents et des adultes, spécialisée dans le TDAH, le TSA, le SLD, l'anxiété et les troubles et syndromes connexes. Elle est titulaire d'une maîtrise en psychologie de l'éducation et d'un doctorat en études intégrées en éducation. Son intérêt particulier pour les tests cliniques et la recherche réside dans les interconnexions entre la psychologie et l'éducation. La professeure Greenstone est directrice associée de la Clinique d'évaluation du risque d'Alzheimer de l'Hôpital général juif de Montréal et codirectrice de la Clinique de développement d'ELNA Medical. Elle dirige sa propre clinique multidisciplinaire, le Centre MDC, et a développé un programme d'entraînement cérébral, Cogniroutes Therapy.
Lucie Ouimet
Professeure auxiliaire
Lucie Ouimet a obtenu un doctorat en sciences de l’éducation - volet santé à l’université Paris 8, au sein du Laboratoire Interuniversitaire Expérience, Ressources culturelles, Éducation (EXPERICE). Elle questionne les représentations sociales et médicales entourant les concepts de vieillissement et de vieillesse, et mène également une réflexion sur les représentations sociales et médicales de la maladie d’Alzheimer et des personnes ainsi diagnostiquées. La professeure Ouimet mobilise l’approche biographique au regard du vécu des personnes concernées : de leur expérience en pareil contexte. Sa réflexion trouve ancrage dans un paradoxe qui l’interpelle : celui de nos sociétés vieillissantes à une époque où l’espérance de vie atteint une longévité sans précédent, et leur refus du vieillissement, et de l’âgisme qui y prévaut. Elle est sensible, en pareille situation, à la fragilisation des sujets, à la stigmatisation des personnes âgées et de celles atteintes de la maladie d’Alzheimer.