École de gestion Telfer

MOT DU DOYEN

L'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa entretient des liens privilégiés avec les leaders du Canada et apprend de leur savoir-faire. Nous nous appliquons à faire du leadership le point de mire de tous nos diplômés, et ce, au profit de la société canadienne.

Aujourd'hui plus que jamais, étudier en gestion ouvre une fenêtre sur des perspectives fascinantes. L'économie canadienne offre des débouchés extraordinaires aux gestionnaires solidement formés et polyvalents.

Dans une économie mondiale où la technologie est omniprésente, les entreprises veulent des gestionnaires capables de concevoir et d'implanter des solutions originales à des problèmes extrêmement complexes. Ces gestionnaires doivent aussi posséder une connaissance approfondie des champs fondamentaux de la gestion, doublée d'une capacité d'intégrer tout leur potentiel. Il leur faut également être en mesure de concevoir, de communiquer et de diriger. Capables d'apprivoiser facilement la technologie, ils doivent savoir travailler en équipe et s'adapter aux autres cultures.

L’École de gestion Telfer est un chef de file en études commerciales. Nous avons obtenu cette distinction en concevant des programmes qui permettent aux étudiants de faire une transition réussie entre la salle de classe et la salle d’un conseil d’administration.

• Excellence académique : notre programme baccalauréat en sciences commerciales fournit aux étudiants un milieu d’apprentissage stimulant et leur propose notamment des études de cas, des lectures dirigées, des simulations d’affaires et des occasions uniques d’enrichir leur apprentissage avec des échanges auprès de dirigeants prospères de la région.

• Une vie étudiante enrichissante : notre programme permet aussi aux étudiants d’affiner leurs compétences, d’élargir leurs connaissances et d’acquérir une expérience pratique en se joignant à des clubs d’étudiants, en participant à des compétitions d’études de cas, en contribuant à une oeuvre de bienfaisance et en profitant d’activités spéciales de perfectionnement en leadership.

• Développement personnel et professionnel : le baccalauréat en sciences commerciales comprend aussi des services et des initiatives spécialisés qui donnent aux étudiants les outils et la possibilité de développer les compétences nécessaires pour planifier et mener une vie professionnelle solide et satisfaisante.

L’excellence académique, une vie étudiante enrichissante et des occasions de croissance personnelle et professionnelle : trois caractéristiques du baccalauréat en sciences commerciales, trois exemples de notre engagement envers votre succès.

L'École de gestion Telfer tire avantage du fait qu'elle est située au cœur de la capitale politique et technologique du Canada. Ottawa est l'une des régions les plus dynamiques et les plus prospères du pays. La région est devenue un centre d'échanges internationaux et une pépinière d'entreprises de haute technologie. La région déborde de jeunes entreprises liées aux technologies de l'information, à la biotechnologie et est animée par la fonction publique et ses nombreuses organisations de commerce international. Ces contacts établis entre l'École Telfer et les organismes des secteurs public et privé mènent à d'intéressantes perspectives d'emploi, et permettent aux étudiants d'assister à des cours bien ancrés dans la réalité et de côtoyer des chefs de file du secteur.

L'École Telfer s'appuie sur une équipe de plus de 80 professeurs à temps plein et une centaine de chargés de cours à temps partiel issus du milieu des affaires et de la fonction publique. En effet, ses professeurs sont recherchés comme consultants ou pour effectuer des recherches qui contribuent à l'essor de la région.

L'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa se distingue aussi par la richesse culturelle et la diversité de sa communauté étudiante. Elle offre un milieu sans pareil pour apprendre à vivre et à travailler dans un contexte de mondialisation.

Voilà en bref, ce que nous vous offrons et ce que je vous invite à vivre.

Le doyen par interim,

François Julien