Marta Keller : par-delà les traumatismes, la résilience
Luc Bélanger : De vulnérabilité et d’empathie : un diplômé de l’Université d’Ottawa
Après s’être longtemps tu sur l’anxiété de performance éprouvée dans sa vie personnelle et pendant son parcours professionnel, le diplômé Luc Bélanger, qui connaît une brillante carrière comme avocat et maintenant à titre de président d’un tribunal administratif fédéral, est revenu vers son alma mater afin de nous faire part de son expérience et pour transmettre son message sur la santé mentale.
Lynda Collins : de l’enseignement du bonheur et du bien-être dans le programme de droit
On parle beaucoup de culture générale et de culture mathématique, mais qu’en est-il de la culture du bien-être? En plus d’enseigner les principes du droit environnemental, Lynda Collins se fait un devoir d’aborder dans ses cours les notions d’émotion et de bien-être.
James Makokis : la transmission des savoirs autochtones
Isabelle Wallace, déterminée à améliorer la santé des Premières Nations
Membre du Conseil des diplômées et diplômés autochtones, l’infirmière en santé communautaire Isabelle Wallace (M.Sc.Inf. 2018) est la première femme autochtone à occuper le poste d’infirmière au sein de sa communauté, la Première Nation malécite du Madawaska, au Nouveau-Brunswick.
L’Association des diplômés lutte contre l’insécurité alimentaire chez les étudiantes
L’Association des diplômés de l’Université d’Ottawa a décidé d’agir et a financé des initiatives visant à lutter contre l’insécurité alimentaire sur le campus.
Réfugiée au Canada, Roya Shams a trouvé sa voie
Roya Shams (B.Sc.Soc. 2019) met toute sa ténacité, sa détermination et sa passion dans la poursuite de son rêve d’étudier le droit et dans la défense des droits des femmes et des filles en Afghanistan, son pays natal.
Harley Finkelstein et Lindsay Taub, de notre communauté diplômée
Le thème de cette saison? La curiosité. Pour notre premier épisode, nous accueillons Harley Finkelstein (LL.B. 2009, MBA 2009) et Lindsay Taub (M.Éd.2010).
Pascale Marceau : gérer les risques en expédition comme en industrie
Elle aime le froid polaire, « les vastes espaces où il n’y a pas de réponses, pas de trajets, pas de sentiers » et le risque… calculé. Mais à l’épithète « courageuse », l’exploratrice, alpiniste et consultante en gestion de risques Pascale Marceau (B.Sc.A. Génie chimique, 1999) préfère celles de « curieuse » et « tenace ».