Donner le choix

École de gestion Telfer
Faculté des sciences de la santé
Communauté diplômée
Sciences infirmières
Paul E. Gagné
Plus qu’un don, c’est la flexibilité que le donateur et diplômé Paul E. Gagné a généreusement choisi d’offrir à l’École de gestion Telfer et à l’École de sciences infirmières de la Faculté des sciences de la santé.

Paul E. Gagné n’est pas du genre à laisser les autres décider pour lui. À une exception près.

Président et chef de la direction, chef de la direction financière, chef des opérations… Paul E. Gagné (B.Com. 1972) a tout le profil d’un gestionnaire avisé. Aujourd’hui à la retraite après avoir travaillé tant au Canada qu’aux États-Unis, il continue de siéger à plusieurs conseils d’administration de grandes entreprises comme Wajax (à titre de président du conseil), Textron, CAE et Norbord.

Mais lorsqu’est venu le temps de décider à quoi serviraient ses dons testamentaires à l’École de gestion Telfer et à l’École des sciences infirmières de la Faculté des sciences de la santé — son épouse Shari (B.Sc.inf. 1973) est également diplômée de l’Université —, il était important pour lui de laisser un maximum de flexibilité à chaque unité.

« Essayer de déterminer maintenant ce qui va être important au moment de mon décès, peut-être dans vingt-cinq ans d’ici, ce serait difficile. Alors aussi bien laisser cette décision aux gens qui seront en place à ce moment-là », dit-il.

M. Gagné a choisi d’appuyer les fonds de priorités stratégiques respectifs de Telfer et de Sciences infirmières. À l’Université, ce genre de fonds sert justement à répondre aux priorités émergentes : nouvelles initiatives, recrutement de talents, modernisation des infrastructures, nouveaux programmes…

Pour tout dire, ils donnent à l’Université la flexibilité nécessaire pour saisir les occasions qui se présentent. Parce que les choses peuvent drôlement changer en l’espace d’une génération!

M. Gagné le sait bien, ayant fait ses études à une époque où la population étudiante de l’Université d’Ottawa était le quart de ce qu’elle est aujourd’hui.

« C’était un monde très très différent. Autant sur le plan de la culture, de l’emploi, de la technologie ou des relations sociales, dit-il. Une chose qui n’a pas changé, par contre, c’est la valeur de l’éducation dans une société, que ce soit sur le plan du développement personnel ou économique. »

Et c’est grâce à la prévoyance de généreux donateurs comme les Gagné que l’Université d’Ottawa pourra cultiver encore longtemps cette force transformatrice.