Un don qui va de soi

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André Samson
Le professeur André Samson est heureux de penser que son don testamentaire aidera de jeunes francophones à persévérer dans leurs études et à prendre leur place à l’Université d’Ottawa et dans la société.

André Samson est professeur d’orientation scolaire et professionnelle et vice-doyen de la Faculté d’éducation. Pour le Bureau du développement de l’Université d’Ottawa, il est aussi un précieux collaborateur qui travaille activement à inspirer d’autres donateurs comme lui, notamment du côté des dons planifiés. En effet, il a lui-même prévu un généreux don à l’Université d’Ottawa dans son testament.

Lorsqu’on lui fait remarquer la profondeur de son engagement envers l’Université, il répond simplement : « J’ai toujours été très impliqué partout où j’étais. » De toute évidence, pour lui, l’engagement est une chose qui va de soi.

« Je trouve que les professeurs d’université, nous sommes une classe très, très privilégiée, poursuit-il. C’est normal qu’on serve cette université qui nous donne tant comme professeurs. »

Le professeur Samson est particulièrement attaché au rôle fondamental que joue et doit jouer l’Université d’Ottawa dans la formation des enseignants et des leaders de la communauté franco-ontarienne.

« La mission de l’Université d’Ottawa auprès de la francophonie ontarienne me tient très à cœur, je pense que c’est une de ses missions premières », explique-t-il. Il a d’ailleurs choisi d’y contribuer lui-même en affectant son don testamentaire à la création de bourses d’études pour les étudiants francophones de la Faculté d’éducation.

« Comme vice-doyen, je suis responsable d’administrer tous les programmes de bourses de la Faculté, dit-il. Ça peut sembler anodin de donner une bourse de 1000 ou 2000 $ à un étudiant ou une étudiante, mais dans sa vie, ça fait toute la différence. »

Aujourd’hui, il est heureux de penser que son don testamentaire aidera de jeunes francophones à persévérer dans leurs études et à prendre leur place à l’Université d’Ottawa et dans la société. Il y voit aussi une belle façon de donner une certaine pérennité à son patrimoine.

« Je trouve que les professeurs d’université, nous sommes une classe très, très privilégiée. C’est normal qu’on serve cette université qui nous donne tant comme professeurs. »