Une affaire de cœur

Faculté de médecine
Communauté diplômée
Retraité ou retraitée
Sylvain Leduc et Marie-Claude Jean
« Nous ne sommes pas des donateurs exceptionnels. Il y a beaucoup de gens qui peuvent faire ce genre de chose. En planifiant un peu, on peut redonner de façon substantielle en ayant un impact quand même important. »


L’Université signifie bien des choses pour la famille Jean-Leduc – y compris la vie elle-même.

Directeur associé du Centre de formation continue, Sylvain Leduc (B.A. [1977] et M.A. [1981], psychologie) travaille à l’Université d’Ottawa depuis plus de 30 ans.

Il a étudié ici, s’est fait des amis ici. C’est ici qu’il a rencontré son épouse, Marie-Claude Jean, qui a elle-même commencé sa carrière d’enseignante en psychologie ici. C’est aussi à l’Université que leurs trois enfants ont fait leurs études. Leur fils a opté pour la médecine, leurs filles pour les affaires publiques et internationales et pour la biologie, respectivement.

« C’est en grande partie grâce à l’Université d’Ottawa que nos enfants pourront s’accomplir dans un travail qui les intéresse », affirme Marie-Claude Jean.

Le couple croyait avoir déjà amplement de raisons d’être reconnaissant envers l’Université. Or, une raison supplémentaire devait encore s’ajouter à la liste.

Il y a trois ans, Sylvain Leduc a dû subir d’urgence une opération à coeur ouvert à l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa. Impressionnés par la qualité des soins reçus, sa femme et lui ont tenu à exprimer concrètement leur gratitude.

« Nous ne sommes pas des donateurs exceptionnels. Il y a beaucoup de gens qui peuvent faire ce genre de chose. En planifiant un peu, on peut redonner de façon substantielle tout en ayant un impact quand même important. »

« Tout ça mis ensemble, on ne se voyait pas ne pas redonner, » dit-il. « À l’Université d’abord et avant tout, mais aussi à l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa à travers elle.

Le don testamentaire qu’ils ont soigneusement planifié a une double portée : appuyer la recherche, les soins aux patients et l’achat d’équipement à l’Institut, mais aussi créer des bourses pour des étudiants francophones inscrits en médecine à l’Université d’Ottawa. Il s’agissait d’une façon de soutenir ce qui compte pour leurs enfants et pour eux : la santé, la langue française, l’éducation et l’entraide.

En partageant leur histoire, Sylvain Leduc et Marie-Claude Jean espèrent inspirer d’autres personnes à appuyer l’université qui occupera toujours une place très spéciale au coeur de leur vie.

Sylvain Leduc et Marie-Claude Jean ont choisi le don testamentaire pour exprimer leur gratitude envers l’établissement qui forme depuis toujours la toile de fond de leur vie familiale.

PARLONS-NOUS!

Vous aimeriez faire partie de ces hommes et femmes de cœur dont la générosité fait toute la différence dans la vie de nos étudiants? Vous avez déjà inclus un don à l’Université d’Ottawa dans votre testament ou vous songez à le faire? Communiquez avec nous!