Pour comprendre le monde dans lequel nous vivons…
La communication occupe une place prépondérante dans nos vies en ce début de XXIe siècle. Elle est au cœur des échanges qui caractérisent l’ère de la mondialisation. Elle est source de connaissance et d’une meilleure compréhension entre les individus et les peuples. Les communications maintiennent les liens sociaux et contribuent à la dynamique culturelle. Elles ont leur place partout, qu’il s’agisse des rapports entre collègues au travail, des relations publiques d’une entreprise, de la promotion de politiques gouvernementales dans les domaines de l’environnement ou de la santé, de la programmation télévisuelle ou de transactions commerciales par Internet.
Les technologies de l’information et de la communication, tant traditionnelles (presse écrite, radio, cinéma, télévision, etc.) que récentes (Internet, téléphonie cellulaire, etc.) contribuent à façonner nos activités familiales, professionnelles et de loisir.
Par ailleurs, si l’on comprend bien les techniques de persuasion, on peut mieux évaluer les communications politiques et gouvernementales, qui sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus complexes.
En somme, l’omniprésence de la communication nous oblige à étudier les mécanismes de celle-ci pour mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons et agir sur lui.
Profil étudiant recherché
Grosso modo, on peut diviser en deux catégories les étudiants qui se destinent à une carrière en communication. Dans les deux cas, ils font preuve d’une grande curiosité à l’égard du monde qui les entoure, sont sensibles aux relations humaines, médiatisées ou non, et s’intéressent de près aux phénomènes sociaux et culturels.
Les étudiants de la première catégorie aimeraient faire carrière dans une entreprise de communication, par exemple à titre de relationnistes, de concepteurs de plans de communication, d’agents d’information ou de journalistes.
Ceux de la deuxième catégorie sont davantage portés vers la recherche et se voient, par exemple, comme analystes des politiques du cinéma ou de la radiodiffusion.
Les deux groupes veulent contribuer au mieux-être de leurs semblables, mais par des moyens différents, qui convergent parfois.