Thomas Burelli est titulaire d'un doctorat en droit de l'Université d'Ottawa (2019), d'un LL.M en droit de l'Université d'Ottawa (2008), d'une maîtrise en anthropologie du droit de l'Université de Paris I (2009) et d'une maîtrise en propriété industrielle de l'Université de Paris 8 (2012).
Thomas Burelli a obtenu son doctorat sous la direction de la professeure Sophie Thériault. Le titre de sa thèse est «Ni vues, ni connues : Étude des contributions des acteurs des milieux autochtones et universitaires pour l'encadrement de la circulation des savoirs traditionnels au Canada».
Thomas Burelli a été invité à travailler dans le domaine de l'éthique de la recherche impliquant les peuples autochtones par son mentor Régis Lafargue en 2008, juge à la Cour d'appel de Nouméa (Nouvelle-Calédonie). Sous sa supervision, Thomas a participé à la révision et à la rédaction de différentes versions du projet de loi du pays sur la sauvegarde du patrimoine immatériel des autochtones de Nouvelle-Calédonie.
Dans le cadre de ses recherches, Thomas Burelli a effectué plusieurs missions dans les territoires français d'outre-mer (Guyane française, Polynésie française et Nouvelle-Calédonie). Il a contribué aux côtés de la Fondation France libertés - Danielle Mitterrand à révéler plusieurs cas de biopiraterie (notamment ceux des Faux Tabacs et de Quassia Amara). En collaboration avec Tamatoa Bambridge, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), il a également rédigé le premier code éthique français pour la recherche impliquant des populations indigènes et locales.
Thomas Burelli est actuellement professeur de droit à la Section de droit civil de l'Université d'Ottawa. Voir son profil à l'Université d'Ottawa ici.