Jena McGill est professeure agrégée à la Faculté de droit (Section de common law) et membre du Barreau de l'Ontario.
Jena est diplômée du programme conjoint J.D./M.A. de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa et de la Norman Paterson School of International Affairs de l'Université Carleton, et elle a été auxiliaire juridique de la juge Louise Charron à la Cour suprême du Canada. Jena a travaillé à la Commission du droit international des Nations Unies à Genève, en Suisse, et a terminé ses études supérieures en droit (LL.M.) à la Yale Law School, où elle s'est concentrée sur les droits de la personne et les questions d'égalité liées au genre, à la sexualité et au droit.
Jena effectue des recherches dans les domaines du droit constitutionnel canadien (particulièrement sur le droit à l'égalité), du genre et de la sexualité, des femmes, de la paix et de la sécurité en droit international, de la théorie juridique féministe et de la technologie juridique comme moyen de promouvoir l'accès à la justice. Son travail sur l'article 15 de la Charte canadienne des droits et libertés a été cité par la Cour suprême du Canada. En 2014, Jena a été chercheuse invitée au Kent Centre for Law, Gender and Sexuality de la Kent Law School à Canterbury, au Royaume-Uni. En 2016, Jena a été la chercheuse principale d'un projet financé par le CRSH qui explorait les risques et les opportunités de l'utilisation d'applications mobiles et Web pour améliorer l'accès à la justice, avec les cochercheuses, les professeures Suzanne Bouclin et Amy Salyzyn. Le rapport final du projet, intitulé Emerging Technological Solutions to Access to Justice Problems : Opportunities and Risks of Mobile and Web-based Apps, peut être consulté ici. En 2017-2019, la même équipe de recherche, avec la professeure Teresa Scassa et avec le soutien financier du Commissariat à la protection de la vie privée du Canada, a élaboré un guide des meilleures pratiques pour améliorer les pratiques de protection de la vie privée pour les apps juridiques,
Jena enseigne ou a enseigné le droit de la responsabilité civile, le droit constitutionnel et l'introduction à la pensée juridique féministe dans le programme de première année, ainsi que les séminaires d'année supérieure sur le genre, la sexualité et le droit et les droits avancés à l'égalité.