La Section common law fait partie de rePENSER l'Université d'Ottawa

Faculté de droit – Section de common law
reimagined

Par Common Law

Communication, Faculté de droit

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La Section common law fait partie de rePENSER l'Université d'Ottawa

L’automne dernier avait lieu le lancement de la campagne rePENSER, un événement crucial tant pour l’Université que pour la Faculté de droit, Section de common law. Cette campagne vise à financer la transformation de notre établissement en redéfinissant le rôle même de l’université au sein de la société. Il s’agit de reconsidérer non seulement ce qui est possible, mais également les moyens de relever les défis et de réparer les injustices, de travailler ensemble et de façonner une société meilleure. Or, la Faculté de droit, Section de common law est au cœur de cette transformation. 

Pour reprendre les mots pleins d’enthousiasme du président de la campagne rePENSER, le diplômé de common law Perry Dellelce (J.D. 1990), « c’est avec confiance, ambition et inspiration que nous nous tournons vers l’avenir ». Pour lui, cette étape est cruciale dans la métamorphose de l’Université en établissement international. 

L’apport de M. Dellelce ne se limite toutefois pas à son rôle de présidente de campagne. En effet, sa famille et lui ont récemment fait don de 5 millions de dollars à la Faculté de droit, Section de common law pour « créer un espace inspirant qui attirera la crème des pédagogues, de même que des étudiantes et étudiants de toutes les sphères de notre société, pour permettre à tout le monde de réussir ». 

En plus de réinventer l’expérience étudiante et de doter l’Université d’infrastructures de pointes, la campagne a pour objectif de rePENSER la recherche transformatrice. Prenons par exemple le dévouement avec lequel notre communauté de recherche tente de comprendre les répercussions sociétales de la COVID-19, et les changements qui ont eu lieu et qui continuent d’avoir lieu en marge de la pandémie. À la Section de common law, nos équipes étudient, entre autres choses, la façon dont la pandémie a affecté le droit à la vie privée et les libertés civiles des groupes marginalisés, notamment les communautés autochtones et racialisées.  

Vanessa MacDonnell, professeure agrégée et codirectrice du Centre de droit public de l’Université d’Ottawa, appuie elle aussi la campagne. « La COVID-19 est un enjeu de santé publique, mais par leur nature, les mesures adoptées touchent d’importantes questions de droit public. Il faut pousser plus loin les discussions sur ce sujet. » 

Les prochains numéros mettront en lumière d’autres exemples d’initiatives destinées à rePENSER la formation en droit et à utiliser la recherche dans ce domaine au profit de l’ensemble de la société. 

Pour en apprendre davantage sur la campagne rePENSER.