Une diplômée du programme français de common law critique le Parti libéral pour son financement en santé mentale  

Faculté de droit – Section de common law
Communauté diplômée
Santé mentale

Par Common Law

Communication, Faculté de droit

Student PCLF
Yasmin Khaliq (JD 2022), toute nouvelle diplômée du programme de common law en français, vient de publier un article intitulé « When will Canadians benefit from the promised mental health transfer? » dans la revue électronique Policy Options.

Elle y critique les libéraux au pouvoir qui, selon elle, n’ont pas respecté leur promesse électorale de faire de la santé mentale une priorité dans l’ensemble du Canada. Elle considère que le gouvernement a raté l’occasion, dans le budget 2022, d’améliorer le sort des communautés qui ont désespérément besoin de services en santé mentale. 

« Les problèmes de santé mentale se multiplient. Avant la COVID, on rapportait qu’une personne sur cinq au pays avait déjà vécu un problème de santé mentale ou en vivrait un au cours de sa vie, et les choses ont empiré considérablement depuis le début de la pandémie », explique la juriste.  

Son article part d’un mémoire parlementaire qu’elle a rédigé dans le cadre du séminaire sur la réforme féministe du droit offert l’automne dernier par la professeure Martha Jackman. 

Yasmin Khaliq avance que le programme de Transfert canadien en matière de santé mentale promis pendant les élections de 2021 aurait pu améliorer le sort des communautés qui ont désespérément besoin de services en santé mentale.  

Avant de faire ses études en droit, Mme Khaliq a travaillé comme pharmacienne, notamment en milieu hospitalier, dans un contexte de soins directs. Elle a également participé à des recherches et publié des articles.

« Je m’intéresse de près à la législation en matière de santé mentale et j’espère que des changements notables auront lieu avec l’arrivée d’une nouvelle ministre. Le système de santé est en piteux état; il s’est beaucoup dégradé depuis que j’ai commencé à y travailler. Quant à la couverture de soins en santé mentale, on ne compte plus ses déficiences. »  

Lire l’article intégral (en anglais).