Me Éloïse Ouellet-Décoste est titulaire d’une impressionnante formation universitaire interdisciplinaire, d’un dossier académique exceptionnel et d’expériences d’enseignement, de recherche et de pratique du droit pertinentes et diversifiées. Elle est membre du Barreau du Québec
Candidate au doctorat en droit à l’UQAM, sa thèse de doctorat porte sur la notion de réconciliation et sur sa mise en œuvre par le moyen d’une obligation contraignante de réparation, s’imposant aux États. Le Comité de recrutement de la Section s’est dit impressionné par la réflexivité de la future professeure sur son agenda de recherche ainsi que sur sa potentielle contribution, en tant qu’allochtone, à la formation des futur-es juristes et à la réconciliation plus généralement.
Elle à enseigné à la Clinique internationale de défense des droits humains de l’UQAM (CIDDHU) de 2022 à 2024. Par le passé, elle a dispensé le cours de Droit international public au département des sciences juridiques de l’UQAM.
Me Ouellet-Décoste est diplômée de l’Académie de droit international humanitaire et de droits humains de Genève (LL.M.) et de l’Université McGill (B.C.L./LL.B. et B.A.). Par ailleurs, elle a effectué des séjours de recherche au Te Puna Rangahau o Te Wai Ariki / The Aotearoa New Zealand Centre for Indigenous Peoples and the Law (University of Auckland) et au Centre for Global Studies (University of Victoria), en plus de compléter une formation sur les ordres juridiques autochtones à la faculté de droit de l’Université de Victoria.
En outre, Me Ouellet-Décoste agit comme avocate en matière de droits autochtones et de droits humains pour des organismes autochtones et des organisations internationales depuis plus de 10 ans. Elle a également contribué à la mise en œuvre de la Loi sur les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Métis et des Inuits (Loi C-92), à titre de conseillère juridique au ministère de la Justice.