Taylor Wormington rêvait d’être admis au programme de maîtrise de la Faculté de droit de cet établissement de renommée mondiale. « Moi qui ai toujours voulu étudier à l’étranger, je ne pouvais imaginer mieux que Cambridge », se réjouit-il.
Sarah Gagnon abonde dans le même sens : elle voit se réaliser son rêve d’enfance d’étudier à l’extérieur du Canada. Cambridge était son premier choix pour sa maîtrise. « C’est une occasion sans égale d’apprendre auprès de sommités en [philosophie du droit et en droit public] dans les murs mêmes de l’établissement qui a vu naître certaines théories fondatrices », ajoute-t-elle.
L’un comme l’autre affirment que cette bourse, en plus de l’honneur qu’elle représente, leur permettra de jouir pleinement de leur expérience à Cambridge, à l’abri des problèmes financiers, et de s’engager dans un parcours de carrière, qui leur semblait autrement improbable.
Par ailleurs, ces deux camarades déclarent d’une seule voix que la possibilité de suivre en français un double programme de six ans a été un facteur déterminant dans leur choix de l’Université d’Ottawa.
Taylor Wormington est très reconnaissant des occasions extraordinaires qui lui ont été offertes pendant ses années à la Faculté de droit. Outre « l’excellence de l’enseignement et du corps professoral », il souligne l’influence primordiale de ses activités hors classe sur sa carrière : « Mes expériences en tant qu’assistant de recherche ainsi qu’à la Revue de droit d’Ottawa m’a permis de développer des aptitudes essentielles en recherche et en rédaction, qui m’ont été très profitables jusqu’ici ».
Sarah Gagnon, quant à elle, attend avec impatience le début de l’année universitaire : « J’ai hâte de m’imprégner de l’histoire du lieu, de côtoyer les plus grands cerveaux et de découvrir la ville. » Le fait d’intégrer le réseau des lauréates et lauréats de cette bourse, « des personnes brillantes qui ont aussi bénéficié de ce programme et qui poursuivent aujourd’hui des carrières remarquables dans divers domaines », pourrait aussi leur ouvrir des portes.
Décernée chaque année par l’Institut canadien d’études juridiques supérieures, la Bourse d’études le très honorable Paul Martin père couvre la totalité des droits de scolarité à l’Université de Cambridge, une allocation de subsistance mensuelle, la surtaxe de santé à l’immigration et le prix d’un vol aller-retour.
Visiter le site Web de l’Institut canadien d’études juridiques supérieures pour en savoir plus sur cette bourse.
Toutes nos félicitations à Taylor Wormington et à Sarah Gagnon pour cet honneur mérité! Nous leur souhaitons tout le succès possible dans leurs études en droit.