L'apprentissage par le jeu est au cœur de cette initiative qui explorera « les relations parmi les trois catégories de jeu et leur valeur relative, soit le jeu extérieur (dehors), le jeu sur écran (numérique) et le jeu machine (robotique/mécanique) ». L'expertise collective de tous ces membres du corps professoral de la Faculté d'éducation se réunira au cours de ce projet de 18 mois et touchera plus d'un million d'élèves dans plusieurs provinces canadiennes.
Dans un communiqué de la salle de presse de l’Université d'Ottawa, le professeur Hargreaves a souligné l'importance du jeu. Il a dit « nous voulons étudier de plus près le jeu en tant qu’élément porteur et partie intégrante de l’excellence et de l’apprentissage profond. Nous sommes motivés par la nécessité de faire valoir le jeu comme ressource essentielle favorisant l’apprentissage et le mieux-être dans diverses populations, surtout les plus marginalisées dans notre société. J’entends par là, entre autres, les Premières Nations, Métis et Inuits, les personnes défavorisées en milieu rural et urbain, les réfugiés récemment arrivés, les Afro-Canadiens et les élèves ayant des besoins spéciaux. »