• Détenir un baccalauréat avec spécialisation ou majeure en génie, en informatique ou en sciences physiques, ainsi qu’une moyenne d’admission d’au moins 70 % (B);
• Posséder au moins deux ans d’expérience de travail en ingénierie;
• Joindre deux lettres de recommandation (à soumettre par voie électronique via notre portail);
• Joindre son curriculum vitæ;
• Payer des frais de demande d’admission de 120 $;
• Détenir la citoyenneté canadienne ou la résidence permanente au Canada. 

Dates à retenir

Ce cursus est le produit d’une collaboration entre la Faculté de génie et l’École de gestion Telfer, qui détient la triple couronne des agréments. Afin d’acquérir certaines compétences de base, vous devez suivre quatre cours obligatoires de tronc commun :

• Introduction to Engineering Management
• Principles of Accounting and Finance
• Principles of Management and Leadership
• Project Management 

Vous devez ensuite enrichir votre cursus avec six cours au choix parmi six concentrations.

À qui s’adresse le programme?

Cette maîtrise est pour vous si vous œuvrez dans l’un des domaines suivants :

Génie

Informatique

Physique

Les gestionnaires en ingénierie jouent un rôle fondamental dans la supervision des projets, du personnel et des processus. Capables de faire naître de nouvelles idées, de créer des plans et des initiatives, de former des équipes et de communiquer efficacement, ces professionnelles et professionnels savent décortiquer des concepts techniques complexes et les traduire en mesures concrètes. Leur leadership est essentiel au bon fonctionnement des opérations et au progrès des industries, car ces gestionnaires assurent le bon déroulement de projets et d’opérations d’envergure.

Selon les tendances actuelles, on s’attend à ce que 23 100 postes de gestionnaire en ingénierie soient créés d’ici 2031.

Le magazine Maclean’s place la gestion en ingénierie au 51^e rang de son palmarès des meilleurs emplois au Canada, avec un salaire annuel médian de 105 996 $ et une croissance prévue des offres dans le domaine de 18,9 % au cours des cinq prochaines années.

On s’attend ainsi à un nombre d’offres d’emploi équivalant au nombre de personnes en recherche d’emploi au Canada.