Consultez la définition de harcèlement, d’intimidation et de discrimination que vous trouverez sur cette page Web. Si vous n’obtenez toujours pas de réponse à votre question, parlez avec quelqu’un en qui vous avez confiance pour avoir un avis extérieur. Vous pouvez aussi consulter le site Soyez au courant, qui décrit la différence entre le fait d’être victime de mauvais traitement et un scénario normal d’enseignement. Fiez-vous à votre instinct. Si vous ne voulez pas en parler avec quelqu’un tout de suite, consignez le comportement que vous avez perçu comme étant problématique. Ceci vous permettra de déterminer le type de comportement abusif et vous sera utile si vous décidez de porter plainte ultérieurement.  Si vous estimez que le comportement n’est pas normal, ne laissez pas les autres vous dire qu’il fait partie d’un environnement normal de formation. La situation pourrait empirer si vous ne la traitez pas.

Plusieurs options s’offrent à vous. Vous pouvez en parler avec un·e ami·e, un·e collègue ou un·e superviseur·e - la personne avec laquelle vous vous sentez le plus à l’aise. Parfois, une simple conversation vous permettra de clarifier suffisamment la situation et vous aidera à décider de prendre ou non d’autres mesures. Si vous n’obtenez pas les informations que vous recherchez lors de cette première conversation, vous pourrez faire appel à d’autres ressources disponibles. Pour connaître la liste des bureaux qui sont à votre disposition pour entendre vos préoccupations, veuillez consulter l’onglet « Comment déposer une plainte ou faire part d’une préoccupation » sur ce site Web. Sachez que le fait de vous entretenir avec l’une de ces personnes ne signifie pas que vous êtes tenu·e de déposer une plainte officielle. Cette décision vous appartient entièrement. Toutefois, en cas de risque de préjudice physique, envers vous ou tout autre personne, la Faculté peut être tenue de poursuivre l’affaire.

Plusieurs options informelles s’offrent à vous. Vous pouvez avoir une conversation confidentielle avec un·e. ami·e, un·e enseignant·e, un·e collègue, votre directeur·rice de département, votre directeur·rice de programme, un·e doyen·ne adjoint·e ou un·e vice-doyen·ne. Vous pouvez demander de l’aide en faisant appel au counseling ou en demandant des ressources en matière de bien-être (Bureau des services aux étudiants, Programme de promotion à la santé de la Faculté, Bureau d’EDI). Vous pouvez aussi parler avec quelqu’un en dehors de la Faculté de médecine. Par exemple, vous pouvez vous adresser au Bureau des droits de la personne pour parler avec un·e internvenant·e en matière de harcèlement de l’Université d’Ottawa . Cette conversation peut être confidentielle et vous n’êtes pas tenu·e de suivre l’avis du·de l’intervenant·e du Bureau des droits de la personne ou de déposer une plainte officielle.

Oui.  Vous pouvez déposer une plainte anonyme en vous servant du Formulaire de rapport d’incident (voir l’onglet « Comment déposer une plaine ou faire part d’une préoccupation ») sur cette page Web. Toutefois, veuillez garder à l’esprit que cette démarche empêche la Faculté de communiquer avec vous pour obtenir davantage d’information et pourrait entraver une enquête minutieuse de l’incident, à moins que votre préoccupation n’ait également été rapportée par d’autres personnes. Cette démarche empêche également la Faculté de communiquer avec vous pour vous informer d’une résolution possible de l’incident.

Oui, vous pouvez signaler un acte dont vous avez été témoin, et qui était dirigé à quelqu’un d’autre. Vous ne devez pas être la victime directe des mauvais traitements pour en être concerné·e, ou pour que ce dernier se répercute sur l’environnement d’apprentissage et de travail.

Le Formulaire de rapport d'incident, disponible en ligne, s’adresse à tous les membres de la Faculté. La procédure de suivi dépendra du statut de l’autre partie. Si la plainte se rapporte à un·e étudiant·e ou à un·e résident·e en médecine, le signalement sera transmis aux EMPC ou EMPD, respectivement. Si la personne accusée est un membre du corps professoral, la plainte sera traitée par le Bureau des affaires professionnelles. Il existe d’autres moyens de déposer une plainte ou faire part d’une préoccupation, en fonction de leur nature. Veuillez consulter l’onglet « Comment déposer une plainte ou faire part d’une préoccupation » sur cette page. 

Si vous déposez une plainte de façon anonyme, cela ne sera pas possible. Toutefois, si vous avez signé votre nom au bas de la plainte, vous serez informé·e de l’évolution de l’enquête. Cependant, en raison de préoccupations en matière de confidentialité, tous les aspects de l’enquête (plans de remédiation ou sanctions) ne seront pas nécessairement révélés à toutes les parties.

Si votre programme est de moindre taille, il est possible que la personne au sujet de laquelle vous déposez une plainte apprenne la source de la plainte. Si cela vous inquiète, vous n’êtes pas tenu·e de porter plainte officiellement. Nous nous efforcerons de protéger votre identité, et nous vous informerons du processus. Cette démarche peut impliquer un retard and le processus ou l’enquête de votre plainte, jusqu’à ce que d’autres plaintes de la même nature aient été déposées. Si vous êtes victime de représailles après avoir porté plainte ou fait part d’une préoccupation, veuillez communiquer avec le Bureau des affaires professorales à [email protected] ou le directeur du Bureau du professionnalisme à [email protected]. La situation fera l’objet d’une enquête, et les mesures adéquates seront prises pour vous protéger et pour vous extraire à la situation offensante.

Il est toujours préférable de signaler un problème au moment où il a lieu. Toutefois, si vous craignez des représailles, l’enquête de l’incident peut être reportée et se dérouler lorsque vous n’êtes plus inscrit au programme et lorsque le responsable des actes n’a plus d’influence potentielle sur votre carrière. La décision relative au moment de déposer une plainte vous appartient. Cependant, si la nature de la plainte est suffisamment grave et peut mettre en danger votre environnement de formation et celui de vos collègues, il se peut que ce retard ne soit pas possible. Vous serez informé·e et recevrez des mises à jour concernant l’évolution de la procédure.

Les conséquences dépendront de la nature de la plainte. Les plaintes qui sont en rapport avec le modèle Vanderbilt (Annexe B), dans le cadre duquel on commence par une conversation informelle entre collègues pour un manquement professionnel mineur, puis on arrive à des mesures disciplinaires officielles (allant jusqu’au licenciement et jusqu’à l’exclusion de l’environnement de travail ou d’apprentissage) pour des infractions plus graves.

Bien que votre participation puisse accélérer l’enquête et permettre à la Faculté d’étayer une plainte, nous n’êtes nullement tenu·e de participer au processus, et votre choix de ne pas y participer ne vous portera aucun préjudice. Veuillez remarquer que ceci peut toutefois dépendre de la nature de l’enquête et de l’implication d’autres organismes (p. ex., l’OMCO).