Dr David Park
Dr David Park
Professeur auxiliaire et Professeur, directeur de recherche en neurosciences cellulaires et moléculaires, Université de Calgary

BSc en biologie cellulaire et moléculaire, Université du Michigan
PhD en biochimie, Université Rutgers



Biographie

Aperçu des domaines d’intérêt

M. Park est un expert en biologie moléculaire reconnu à l’échelle internationale. Il s’emploie à comprendre les mécanismes cellulaires en cause dans la maladie de Parkinson et la neurodégénérescence causée par l’AVC. Ses efforts de recherche sur la maladie de Parkinson portent sur ses causes génétiques, particulièrement les gènes de la maladie de Parkinson familiale, notamment DJ1, Pink1, Parkin et LRRK2. Il a publié une abondance d’articles sur la vulnérabilité aux neurotoxines, les insuffisances mitochondriales et les voies mécanistes dans ces contextes et sur les mécanismes généraux qui contribuent à la mort neuronale, tels que le stress oxydatif et l’inflammation. Son travail lié à l’AVC vise essentiellement à élucider le rôle du mécanisme du cycle cellulaire dans la mort et la survie à la suite de l’AVC, afin de mieux comprendre les mécanismes qui favoriseront le rétablissement neuronal. Ses travaux reposent principalement sur les cultures neuronales primaires et les modèles animaux de la maladie. Il favorise un environnement collaboratif, l’aspect clé de l’extension et de la réussite de la recherche. Ses résultats sont publiés dans des revues à grand déploiement, telles que Nature Cell Biology, Neuron, PNAS, Journal of Cell Biology, Journal of Neuroscience et Human Molecular Genetics.

Percées scientifiques et leur impact

Le laboratoire Park innove dans l’élucidation du rôle du mécanisme du cycle cellulaire et des voies mécanistes en cause dans les lésions résultant de l’AVC. Il a récemment publié le premier modèle du gène DJ-1 de souris cliniquement pertinent pour la maladie de Parkinson, qui manifeste une dégénérescence progressant d’unilatérale à bilatérale, accompagnée de déficits moteurs et d’une réponse immunitaire accrue. Ce modèle souris est unique, car tous les modèles précédents n’ont pu saisir les principales caractéristiques cliniques et pathologiques de la maladie de Parkinson, ce qui avait grandement limité la progression de la recherche sur cette maladie. 

Subventions

La recherche de M. Park est subventionnée par les IRSC, l’IOC et la FMCC.

Intérêts de recherche

  • Biologie moléculaire
  • Mort neuronale
  • Maladie de Parkinson
  • Accident vasculaire cérébral
  • Cycle cellulaire
  • Génétiques
  • Neurotoxines
  • Modèles d'animaux