Cinq conseils pour poursuivre votre rêve d’une seconde carrière

Faculté de médecine
Photos d'Agnes Sobiesiak et David Lavoie
Deux étudiants qui entreprennent une deuxième carrière en médecine à la Faculté nous inspirent à suivre nos passions.

Par Michelle Read

Vous êtes-vous déjà demandé Comment se fait-il que je ne fasse pas la carrière de mes rêves?

Après avoir mené des carrières accomplies en tant que technicienne de laboratoire médical et ingénieur en aérospatiale, une étudiante et un étudiant en médecine à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa donnent des conseils sur le cheminement de la découverte de soi qui les a menés à la médecine.

1. N’ignorez pas un désir profond de vous épanouir

Agnes Sobiesiak (MD2022) a ressenti une « insatiable dépendance » pour les soins de santé et la médecine alors qu’elle travaillait comme technicienne, avant de faire sa demande d’admission à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa.

« Mon travail m’a appris ce que c’est que d’être au service des autres, dit-elle. Mais mon rôle dans le domaine médical avait plafonné, et j’ai commencé à me demander “Et si je faisais quelque chose de plus?” »

David Lavoie (MD2020) était aussi attiré par la médecine qu’Agnes. « Même si ma carrière d’ingénieur en aérospatiale était diversifiée et stimulante, j’ai toujours eu le sentiment que la médecine était ma vraie passion. »

2. Trouvez le moyen d’essayer ce qui vous passionne

« La médecine a toujours été mon premier choix de carrière depuis l’âge de cinq ans, dit David. Ma passion pour la médecine a été ravivée par mon travail bénévole dans différents milieux des soins de santé. La médecine réunit tout ce que j’aime d’une carrière. »

Agnes dit qu’elle passait beaucoup de temps dans les couloirs de l’hôpital pendant le quart de nuit à la recherche de moyens d’aider les malades et leurs familles. « J’ai vu ce que c’est que d’être au service des autres, explique-t-elle. Mon besoin d’épanouissement m’a amenée à passer d’un emploi à l’autre, et j’ai finalement décidé de postuler au programme de médecine de l’Université d’Ottawa. »

3. Sachez qu’il n’est jamais trop tard pour explorer ses passions

« Les responsabilités du quotidien (la maison, la voiture et les obligations familiales) peuvent réduire vos capacités de participer à l’expérience étudiante, dit Agnes, mais cela ne rend pas le défi impossible. »

Malgré le temps qui s’est écoulé depuis leurs dernières études, les deux étudiants reconnaissent l’importance d’être ouvert au changement.

« La technologie est différente de ce qu’elle était lorsque nous étions étudiants, admet David. Mais je sais que j’apprends d’une manière différente maintenant, en appliquant ce que j’apprends, en étudiant en équipe et en se lançant des défis entre nous. La structure de la Faculté de médecine correspond à ma façon actuelle d’apprendre. »

4. Ayez confiance que tout cela en vaudra la peine

David et Agnes soulignent l’importance de rechercher la satisfaction dans la vie.

« Faites ce qui vous rend heureux, sourit David. On ne vit qu’une seule fois et on doit donc s’épanouir autant que possible. »

« Il y a tellement de choses en médecine qui font que ce long parcours difficile en vaut la peine, dit Agnes. Lancez-vous. Il n’est jamais trop tard, rien n’est impossible. Quand vous sentez que rien ne va plus, persévérez. »

5. Puisez des forces auprès de votre famille et vos amis pour relever de nouveaux défis

Agnes travaille fort pour garder le contact avec ses amis et sa famille. « À mesure que je progresse dans mon cheminement, j’en tire une certaine force, dit Agnes. C’est important de les impliquer pour éviter d’en faire une expérience solitaire. »

Pour David, père de trois enfants, le fait de s’appuyer sur sa famille lui a permis de reprendre plus facilement la vie étudiante.

« Je croyais qu’il serait difficile de trouver l’équilibre entre l’école et la famille, admet-il. Mais, je bénéficie d’un énorme soutien de ma femme, et nous formons une équipe formidable. »

 

Une carrière en médecine à l’Université d’Ottawa vous intéresse?

Photos d'Agnes Sobiesiak et David Lavoie