L’Université d’Ottawa a obtenu trois nouvelles chaires de recherche du Canada (CRC) qui permettront d’élargir l’étendue de la recherche dans les domaines de la santé et de l’environnement. Sur les trois, deux sont membres de la Faculté de médecine.
Mireille Khacho – Chaire de recherche du Canada sur la dynamique mitochondriale et la médecine régénérative
Mireille Khacho cherche à décrypter les mécanismes par lesquels les mitochondries (structures présentes dans les cellules qui produisent de l’énergie) contrôlent la longévité des cellules souches musculaires. Son but consiste à restaurer le potentiel régénérateur des muscles dans les cas de troubles dégénératifs et de vieillissement. À cet effet, elle compte établir des stratégies thérapeutiques pour modifier la dynamique et la fonction mitochondriales des cellules souches.
Maxime Rousseaux – Chaire de recherche du Canada sur la génomique personnalisée des maladies neurodégénératives
Les troubles neurodégénératifs, comme la maladie de Parkinson et la sclérose latérale amyotrophique, représentent un fardeau médical, émotionnel et économique dévastateur pour la population canadienne. La recherche de Maxime Rousseaux aidera le milieu médical et les patients minés par ces maladies, en définissant la signification fonctionnelle des variantes génétiques qui ne sont pas encore bien comprises.
L’Université est également fière d’annoncer le renouvellement de trois CRC qui viendront renforcer l’expertise de l’Université dans ces domaines. Sur ces trois-là, un d’eux est issu de la Faculté de médecine.
William Stanford – Chaire de recherche du Canada en biologie intégrative des cellules souches
William Stanford utilise la biologie des systèmes pour analyser les cellules souches et la biologie du cancer, en vue de mettre au point des traitements médicaux précis d’avant-garde. Ses recherches mèneront à l’élaboration de biomarqueurs qui permettront de diagnostiquer et de surveiller les maladies et, éventuellement, de nouvelles thérapies pour traiter diverses pathologies, y compris le cancer.
Lisez en entier l’article rédigé par le Bureau du VP à la recherche.