Les IRSC ont approuvé un financement de 300 000 $ pour trois projets afin de s’attaquer à la menace mondiale de résistance aux antimicrobiens et favoriser la collaboration entre les intervenants clés dans le domaine.
La résistance aux antimicrobiens (RAM) a été reconnue comme une menace pour la santé mondiale, qui diminue la capacité des fournisseurs de soins de santé de lutter contre les maladies infectieuses. Le phénomène se produit lorsque les microbes – bactéries, virus, champignons, et parasites changent de telle sorte qu’ils ne peuvent plus être maîtrisés par des médicaments traditionnels.
Ronald Labonté, chercheur de la Faculté de médecine, et professeur à l’école d’épidémiologie et de santé publique, a reçu une subvention de 100 000 $ pour son étude visant à faire avancer l’expertise canadienne en recherche grâce à l’identification des lacunes en recherche en matière de dispositifs de gouvernance, de structures, et d’établissements s’attaquant à la RAM au niveau mondial et aux menaces connexes liées aux maladies infectieuses. L’étude vise aussi à développer un réseau interdisciplinaire canadien de chercheurs, étudiants, et utilisateurs de connaissances pour la gouvernance mondiale de la RAM.
En plus du Dr Labonté, chercheur principal, l’Université d’Ottawa est représentée au sein du réseau de subvention par le Dr Kumanan Wilson de l’Hôpital d’Ottawa (en tant que co-demandeur de la subvention), Tracey O’Sullivan, professeure à la Faculté des sciences de la santé (en tant que collaboratrice) et Colleen Flood, professeure à la Faculté de droit (en tant que collaboratrice également).
Veuillez consulter le communiqué de presse des IRSC.