« Je suis infiniment reconnaissante des occasions que m’a offertes l’Université d’Ottawa. Je ne serais pas là où je suis aujourd’hui sans ces possibilités. »
Stephanie Hajjar, récemment diplômée, sur le point d’entamer des études postdoctorales à Harvard
Le 6 novembre, près de 2 000 étudiants ont revêtu leur toge pour la collation des grades de l’automne 2022 de l’Université d’Ottawa, parmi lesquels Stephanie Hajjar, de la Faculté de médecine, qui a reçu son doctorat en microbiologie et immunologie.
La Dre Hajjar a récemment discuté des possibilités qui lui ont été offertes par l’Université et la Faculté de médecine, notamment les bourses d’études, des fonds et des installations de recherche, ainsi qu’un milieu idéal pour améliorer son français.
Stephanie Hajjar a déménagé au Liban avec sa famille lorsqu’elle était très jeune. En 2016, elle a décidé de revenir au Canada, et de faire ses études à l’Université d’Ottawa.
« À ce moment-là, je cherchais à m’établir dans un endroit qui pouvait m’offrir de belles occasions, j’ai tout de suite pensé à Ottawa ».
Après avoir entrepris un baccalauréat en sciences biomédicales, la Dre Hajjar n’était pas tout à fait certaine de ce qu’elle voulait faire. C’est alors qu’elle a rencontré son superviseur de doctorat, le Dr Subash Sad, professeur au Département de biochimie, microbiologie et immunologie et directeur du Centre de l’infection, de l’immunité et de l’inflammation.
« J’assistais à une cérémonie de remise de prix d’excellence de ma faculté, et on m’a présenté le professeur, son laboratoire et le programme de microbiologie et d’immunologie. J’ai tout de suite accroché ».
Cette rencontre impromptue lui aura été bénéfique : six ans plus tard, elle devenait docteure en microbiologie et immunologie, et faisait avancer la recherche sur la maladie de Crohn.
« Je suis infiniment reconnaissante des occasions que m’a offertes l’Université d’Ottawa. Je ne serais pas là où je suis aujourd’hui sans ces possibilités », confie-t-elle. Pendant ses études, Stéphanie a pu faire un stage de bénévolat à l’étranger, bénéficier de nombreuses bourses couvrant l’intégralité de ses droits de scolarité, améliorer son français, et, surtout, profiter d’excellentes conditions pour entreprendre sa recherche. Elle vante notamment l’espace collaboratif, les installations, les fonds disponibles et les divers projets de recherche en cours.
Après avoir obtenu un doctorat de l’Université d’Ottawa, la Dre Hajjar a décidé d’entreprendre des études postdoctorales à Harvard. Elle envisage de revenir ensuite au Canada et espère pouvoir un jour « redonner à la communauté de l’Université d’Ottawa », pour la remercier de ce qu’elle lui a offert quand elle était étudiante.
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