Au fur et à mesure que les étudiants et étudiantes progressent dans le programme clinique, des questions et/ou des difficultés peuvent survenir lorsqu’ils ou elles prennent des cours, font de la formation clinique et/ou lorsqu’ils ou elles travaillent sur leur thèse. Dans de telles situations, la population étudiante peuvent se sentir bloquées et ne pas savoir comment procéder. Voici quelques pistes d'action possibles :
- La première étape consiste toujours à poser des questions ou parler à la personne avec laquelle l'étudiant ou l'étudiante rencontre des difficultés, qu'il s'agisse d'un professeur ou d'une professeure, d'un superviseur ou d'une superviseure clinique, d'un directeur ou d'une directrice de thèse ou d'un collègue ou d'une collègue. Puisque ces personnes sont les plus directement impliquées, elles sont les mieux placées pour répondre à la question, comprendre le problème et/ou trouver une solution.
- Si le fait de s'adresser directement à la ou au professeur, superviseur ou collègue étudiant ne permet pas de trouver une solution satisfaisante pour l'étudiante, il ou elle a la possibilité de contacter un membre de la direction.
- Les questions sur le programme clinique peuvent être portées à l'attention du coordinateur ou de la coordinatrice des stages (CPI), le directeur ou la directrice du Centre de recherche et des services psychologiques (CRSP) ou du coordonnateur ou coordinatrice des stagiaires.
- Les questions relatives aux cours et aux thèses (ainsi que toute autre question liée au programme, y compris la formation clinique) peuvent être portées à l'attention du directeur ou de la directrice du programme clinique.
- Les questions qui ne sont pas spécifiquement liées au programme clinique, mais qui sont liées de manière générale à l'École de psychologie, peuvent être portées à l'attention du directeur adjoint ou de la directrice adjointe de l'École.
- Veuillez noter que le directeur ou directrice de l'École ne doit pas être contacté tant que les ressources du programme clinique n'ont pas été consultées et/ou épuisées. Si ce n'est pas le cas, il ou elle référera probablement la personne au programme clinique pour régler le problème, car les personnes du programme clinique sont les mieux placées pour répondre aux questions de la population étudiante ou pour relever les défis.
- Veuillez noter que le directeur ou directrice de l'École ne doit pas être contacté tant que les ressources du programme clinique n'ont pas été consultées et/ou épuisées. Si ce n'est pas le cas, il ou elle référera probablement la personne au programme clinique pour régler le problème, car les personnes du programme clinique sont les mieux placées pour répondre aux questions de la population étudiante ou pour relever les défis.
- Pour les étudiants et étudiantes qui ne se sentent toujours pas à l'aise de s'adresser à la personne avec laquelle ils ou elles rencontrent des difficultés ou même à un membre de la direction, nous les encourageons à s'adresser à un membre du corps professoral ou un superviseur ou une superviseure avec lequel ils se sentent à l'aise. Avec cette personne, l'étudiant ou l'étudiante pourra explorer les moyens de résoudre ses difficultés et communiquer avec la personne la mieux placée pour l'aider à répondre aux questions ou aux difficultés qu'il ou elle rencontre dans le cadre du programme clinique.
- La population étudiante est encouragée à se familiariser avec les politiques du programme clinique en consultant la page Informations essentielles pour le programme de psychologie clinique.
- Si les étapes ci-dessus n'aboutissent pas à une solution satisfaisante pour l'étudiant ou l'étudiante, il existe des options plus formelles pour résoudre les difficultés liées au programme. La population étudiante est invitée à se familiariser avec les règlements et les politiques universitaires de l'Université d'Ottawa.
- La population étudiante peut également s'adresser à l’Association des étudiant.es gradué.es en psychologie (GASP). L’Association est une ressource appropriée pour fournir un soutien concernant l'expérience, l'engagement et la défense des intérêts des étudiants et étudiantes. Le représentant ou la représentante de la cohorte clinique est membre de l’Association et peut également être une ressource utile.
- La population étudiante qui s'inquiète d'une violation des droits de la personne peuvent s'adresser premièrement au directeur ou à la directrice du programme clinique ou au coodinateur ou à la coordonnatrice des practica et internats (selon la nature de l’inquiétude) et par la suite, si nécessaire, au Bureau des droits de la personne de l'Université d'Ottawa. Celui-ci offre une gamme de services, y compris la médiation par laquelle une personne déléguée peut, par exemple, assister à des réunions avec des étudiants et étudiantes pour prendre des notes et apporter son soutien.
- Les étudiant.es peuvent envisager de contacter le Bureau de l'ombudsman, et ce document fournit des informations sur le rôle de ce Bureau : www.uottawa.ca/about- us/sites/g/files/bhrskd336/files/2021-12/flow-chart-fr%20final.pdf.