Camille, DVM, Burkina Faso, Centre d'étude de coopération internationale (CECI), Association pour le Développement et l'Intégration de la Jeunesse Rurale (ADIJR).
Bientôt diplômée au baccalauréat en Développement international et mondialisation de l'Université d'Ottawa, je compte poursuivre mon parcours universitaire avec une maîtrise en Pauvreté et Développement. Pendant le semestre d'hiver, je me demandais si je devrais suivre cinq cours cet été ou faire un stage international et trois cours. Je ne regrette pas du tout d'avoir choisi le stage international, car c'est une expérience très instructive, différente et qui enrichit mon CV!
Je réalise présentement un mandat à distance comme agente en développement d'entreprises au Burkina Faso avec le Centre d’Étude et de Coopération International (CECI) et l'Association pour le Développement et l'Intégration de la Jeunesse Rurale (ADIJR). En tant qu’agente en développement d’entreprises, dont la création d'un réseau d'entreprises, l'élaboration d'outils de ciblage marketing et la préparation et la présentation d'une formation sur un outil. En tant qu’étudiante en développement international, ce sont des domaines dans lesquels j'ai moins d'expérience, donc je trouve intéressant d'avoir l'opportunité de travailler dans ces domaines.
Faire mon stage en mode virtuel a ses défis, notamment l'isolement dû au peu de réunions, beaucoup de travail individuel et la difficulté de m'immerger dans la culture. Même si l'expérience n'est pas la même à distance, je conseillerais quand même à un autre étudiant de faire le stage virtuel!