Yasmin Rajwani a obtenu un baccalauréat en sciences sociales en développement international et mondialisation. Elle commencera ses études en droit à l'Université de Toronto à l'automne, en vue d'obtenir un Juris Doctor et un maitrise des affaires mondiales. À l'avenir, elle espère travailler à l'intersection du droit et des relations internationales, éventuellement dans le secteur à but non lucratif.
Qu’avez-vous apprécié lors de votre parcours à l’Université d’Ottawa et plus particulièrement à la FSS?
Mon séjour à l'Université d'Ottawa a consisté d'un parcours riche, combiné à une expérience étudiante agréable. En tant qu'étudiante diplômée de la FSS, j'apprécie les occasions qui nous ont été offertes de penser de façon critique, de nous impliquer dans notre communauté locale et internationale et de défendre les intérêts de ceux qui sont marginalisés. Je suis reconnaissante du célèbre programme CO-OP qui m’a offert des chances uniques afin de travailler dans le secteur public. J'apprécie également la composition multiculturelle et bilingue de notre communauté étudiante, m’ayant permis de rencontrer des personnes d'origines diverses et d'apprendre d'elles.
Est-ce qu'un professeur ou un cours s'est démarqué pendant votre parcours ici?
J'ai une immense gratitude pour tous les professeurs, le personnel et les mentors qui ont guidé et soutenu mon travail pendant mes années à l'université. Je suis reconnaissante envers Dr. Rebecca Tiessen pour sa contribution à la création des opportunitésd'engagement pour les étudiants et pour avoir favorisé des connexions sur le campus et ce, même dans le paysage virtuel dû à la pandémie. Audrey Giles, de la faculté des sciences de la santé, a été un autre grand mentor pour moi, qui m'a fait découvrir le monde de la recherche et qui encourage toujours ses étudiants à exploiter pleinement leur potentiel.
Avez-vous un souvenir préféré de votre parcours?
Les souvenirs sont nombreux, mais parmi mes préférés figurent la conférence de la Semaine internationale du développement (SID) et les jeux annuels de Panda. En tant qu'organisatrice de la conférence et en tant que participante, la conférence SID a été une occasion unique pour les gens de se réunir autour d'un intérêt commun et a poussé mon apprentissage au-delà du cadre de la salle de classe. Les jeux Panda ont été l'occasion de mettre en valeur l'esprit de notre campus et de célébrer les réalisations de notre équipe.
Nicolas Cadieux est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en anthropologie. Il a reçu sa maitrise ès arts spécialisé en anthropologie et il va commencer son programme de doctorat en anthropologie à l’Université d’Ottawa en automne.
Qu’est-ce que vous appréciez dans votre parcours à l’Université d’Ottawa et plus particulièrement à FSS?
FSS est un espace invitant qui, depuis des années, me permet de m’épanouir au niveau académique. C’est ici, en regardant la vue par l’une des nombreuses fenêtres ou en méditant auprès du mur de végétaux, que j’ai pu développer ma créativité et mon intuition intellectuelle. C’est également entre ses murs que j’ai fait la rencontre de collègues et même de professeurs que je peux aujourd’hui appeler des amis. C’est à l’Université d’Ottawa et à la Faculté des sciences sociales que j’ai trouvé ma communauté.
Quels conseils donneriez-vous à de jeunes étudiants qui poursuivent des études similaires?
Il faut prendre le temps de trouver son confort et de se faire une place sur le campus. L’université est remplie d’espaces de travail et de détente, de groupes d’intérêts et de recherches, et de ressources de toutes sortes pour les étudiants. Prenez le temps de vous familiariser avec ce qui vous est offert, allez à la rencontre de la vie de campus, vous y serez accueilli à bras ouvert.
Ghizlène Sehabi a fait son baccalauréat ès arts spécialisé en psychologie et une mineure dans les sciences de santé à l’Université. Elle va commencer ses études supérieures de maitrise ès arts/doctorat en psychologie clinique en septembre à l’Université d’Ottawa.
Qu'est-ce que vous appréciez dans votre parcours à l’Université d’Ottawa et plus particulièrement à FSS?
Le campus d'Ottawa est facilement accessible, à aire ouverte et offre un cadre agréable pour les études. La Faculté des Sciences Sociales est un endroit que j'apprécie énormément. Non seulement son bâtiment est magnifique, et le café qui s’y trouve (Première Moisson) propose les meilleurs croissants et chocolatines! Les membres de FSS forment une véritable famille. Ils sont incroyablement solidaires et motivants, ce qui crée une ambiance vraiment chaleureuse et encourageante.
Est-ce qu'un professeur ou un cours s'est démarqué pendant votre séjour ici?
Absolument! Il y a d'abord le professeur Jude Mary Cénat, directeur du laboratoire Vulnérabilité, Traumatisme Résilience et Culture (VTRaC). Il est un des seuls professeurs à avoir autant d'étudiants issues de la diversité et qui étudie des enjeux qui me parlent beaucoup, notamment le racisme et son impact sur la santé mentale. Il y a aussi Dr. Sophie Lebel, directrice du laboratoire d'Oncologie Psychosociale. Dr. Lebel était venue faire une présentation dans un de mes cours de Psychologie de la Santé au baccalauréat et j’ai tout de suite accroché, alors je lui ai envoyé un courriel juste après le cours afin de m’impliquer dans son laboratoire et de là a débuté notre grande aventure! J'ai la chance de poursuivre mon doctorat sous sa supervision, et elle est une mentore extraordinaire. Non seulement elle est une directrice exceptionnelle, mais elle est également bienveillante et véritablement soucieuse du bien-être et de la réussite de ses étudiants.
Quels conseils donneriez-vous à de jeunes étudiants qui poursuivent des études similaires ?
N’ayez pas peur d’aller chercher de l’information auprès des étudiants gradués, des professeurs, des membres de la Faculté... Tout le monde commence quelque part un jour et ne pas se sentir intimidé d’apprendre et de faire des erreurs! Aussi ne pas s’arrêter à un refus ou à un courriel de superviseur de laboratoire non répondu, il faut vraiment persister. L’accès au doctorat en psychologie clinique est d’une compétition féroce alors il ne faut rien laisser au hasard!