Emily, Spécialisation en criminologie
Pays de stage virtuel: Népal
ONG canadienne: CECI
ONG locale: Prerana
J'entame actuellement ma cinquième semaine en tant que bénévole virtuel universitaire travaillant avec le CECI et son organisation partenaire Prerana, et c'est déjà une expérience tellement enrichissante et étonnante. Je redoute déjà la fin de cette expérience, car je sais qu'elle va continuer à passer à toute vitesse. J'ai travaillé comme chargée de communication et j'ai pu pratiquer et faciliter une communication claire, ce qui est une compétence très utile à acquérir.
Au cours de ma troisième année de premier cycle (cette dernière année scolaire), j'ai eu l'occasion de suivre des cours plus spécifiques qui m'intéressaient. Par exemple, j'ai suivi des cours axés sur les inégalités en matière de genre, de race et d'exclusion qui existent dans notre société, et que je suis devenue déterminée à défendre activement. Lorsque j'ai écouté la présentation du Centre d'étude et de coopération internationale (CECI) lors de l'appel d'information sur les stages de la Faculté des sciences sociales (FSS), j'ai réalisé que nombre de leurs passions et de leurs valeurs correspondaient aux miennes. Je savais que ce serait l'occasion idéale pour moi d'avoir un impact sur des questions qui me passionnent, car le CECI travaille depuis 1958 à la réduction des inégalités en Afrique, en Asie et dans les Amériques. Les personnes que j'ai eu le privilège de rencontrer jusqu'à présent, y compris les coordinateurs de stage de l'université, les membres de l'équipe du CECI du Népal et du Canada et l'équipe de l'organisation partenaire ont tous été incroyables et m'ont aidée à grandir et à développer de nouvelles compétences qui m'aideront dans mes projets futurs.
Même si ce stage se déroule dans un format virtuel, j'ai le sentiment qu'il est tout à fait possible d'apporter des changements positifs et de travailler sur des projets avec des personnes du monde entier tout en étant à distance. Cela dit, l'apprentissage et le travail en ligne posent des problèmes, qu'il s'agisse de réunions avec l'équipe à des heures irrégulières en raison du décalage horaire, de l'impossibilité de s'immerger totalement dans la culture du pays où se déroule la mission, ou encore d'une communication et d'attentes parfois floues, le courrier électronique étant la principale forme d'interaction. Je continue à me rappeler qu'il faut tirer le meilleur parti de chaque jour pendant cette expérience, car il y a encore beaucoup de récompenses à obtenir. Le soutien qui m'a été apporté par toutes les personnes de l'université et du CECI m'a été d'une grande aide tout au long de mon expérience. Jusqu'à présent, je suis très heureuse d'avoir eu l'occasion de faire ce stage virtuel avec le CECI, et j'ai hâte de visiter le Népal un jour prochain, j'espère!