Voici quelques-uns des faits marquants de l'Institut, qui témoignent de son engagement dans sa mission en faveur de l'autonomisation des femmes.
Début des cours en études des femmes à l’Université d’Ottawa
En 1970, grâce aux efforts d’un groupe de pionnières, des disciplines telles que l’anglais, l’histoire, les lettres françaises, la science politique, la psychologie, les études religieuse et la sociologie ont introduit les premiers cours traitant de questions reliées aux femmes à l’Université d’Ottawa.
La naissance d’un programme en études des femmes
En 1980, un comité de coordination composé de professeures et d’étudiantes de la faculté des Arts et de la faculté des sciences sociales a conçu le canevas d’un programme en études des femmes.
Une avancée bilingue pour les femmes
En 1983, l'Université d'Ottawa a réorganisé sa structure administrative pour permettre le développement des études féminines, créant un programme de premier cycle bilingue sous la direction du Vice-Recteur et s’engageant à promouvoir les femmes dans tous les aspects de la vie universitaire.
Un partenariat pour la défense des femmes
En 1985, le Secrétariat d’État a créé une chaire conjointe d’études des femmes, détenue par l’Université d’Ottawa et l’Université de Carleton. Le rôle de cette chaire consistait à entretenir des relations avec des organisations féministes à différents niveaux, tout en menant des recherches, en participant à des comités et en défendant les intérêts des femmes.
Pour en savoir plus sur la chaire Chaire conjointe en études féministes et de genre | Faculté des sciences sociales (uOttawa.ca)
Plein feux sur les chercheures-Promouvoir la recherche pour les femmes
En 1992, la Banque de Montréal a mis sur pied un programme annuel de chercheure invitée afin de promouvoir la recherche au profit des femmes. Au cours de l’année universitaire 2001-2002, le Dr Tina O’Toole a consulté les archives de l’Université d’Ottawa pour explorer la riche histoire du mouvement des femmes au Canada et en Irlande.
Affiner les études supérieures avec une optique féministe
En 1995, la Faculté des sciences sociales a mis en place un programme pluridisciplinaire en étude de la maîtrise dans le but d’enrichir certains programmes de maîtrise avec des théories et des méthodologies féministes.
Une célébration bilingue des voix des femmes
Créée en 1999 par le Fonds de développement de la Fondation Minto, la Conférence annuelle Shirley Greenberg en études des femmes est présentée chaque année par un conférencier ou une conférencière de renom. Parmi les conférenciers précédents, on compte Joao Gabriel, Billy-Ray Belcourt et Nathalie Batraville.
Une présence significative dans le discours des femmes
En 2009, Céline Galipeau, journaliste franco-canadienne renommée et présentatrice du Téléjournal Radio-Canada, a pris la parole lors de la conférence Shirley Greenberg sur les femmes dans le monde.
Le saviez-vous?
La Faculté des sciences sociales propose un cours sur la sexualité, le genre et la culture populaire. FEM 2510 explore la manière dont le genre et la sexualité sont construits dans la culture populaire, à travers une analyse féministe des institutions, des technologies et des représentations.
Le saviez-vous?
Deux associations représentent les étudiants qui font partie l'Institut d’études féministe et de genre: AÉÉFG (Premier cycle) et AÉDÉF (Diplômés). Ces deux groupes favorisent un environnement inclusif et stimulant à travers une variété d'événements, d'ateliers et de discussions, promouvant l'égalité des genres et le féminisme à l'intérieur et à l'extérieur du programme.
Rejoignez-nous pour célébrer cet héritage et envisager l’avenir de l’Institut d’études féministes et de genre à l’Université d’Ottawa!