Heather Kharouba (anglais seulement)
Professeure agrégée, Département de biologie, Faculté des sciences
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La professeure Kharouba dirige le laboratoire Kharouba, qui étudie comment et pourquoi les espèces réagissent au changement global, notamment au changement climatique, et ce que ces réactions signifient pour les communautés écologiques. Ses recherches sur les papillons monarques se sont concentrées sur l'interaction entre le monarque et l'asclépiade.
« Il s'agit d'une désignation importante de l'IUCN. La dynamique de la population, le cycle de vie et les menaces auxquelles est confronté le monarque sont complexes, donc un statut de menace accru conduira, nous l'espérons, à une plus grande protection de cette espèce. »
Megan Reich (anglais seulement)
Doctorante, Faculté des sciences
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Megan Reich, une étudiante en biologie, a parcouru 20 000 kilomètres pour récolter de l’asclépiade et procéder à une analyse isotopique de la route migratoire annuelle des monarques, dans le but de découvrir les facteurs responsables du déclin de cet insecte menacé
« Dans le cas des monarques, plusieurs raisons ont été proposées pour expliquer leur déclin, notamment la déforestation, les phénomènes météorologiques extrêmes sur les sites d'hivernage, la disparition d’habitat sur les lieux de reproduction estivaux, la mortalité durant la migration vers le sud, l’augmentation du parasitisme et les effets des changements climatiques. »