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Barbara Orser (anglais seulement)
Professeure titulaire, Professeur Deloitte en gestion des entreprises de croissance à l’École de gestion Telfer.
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Une récente étude révèle que les femmes en entrepreneuriat mettent en moyenne deux fois plus de temps que les entreprises dirigées par des hommes à se remettre des revers financiers attribuables à la pandémie. Les PME dirigées par des femmes sont plus susceptibles de modifier leurs produits ou services, de fermer temporairement leurs portes ou d’annuler des contrats pour s’adapter à la pandémie.
La professeure Barbara Orser avance que pour bâtir une économie robuste et inclusive, il faut non seulement revoir les politiques du plan de reprise pour les femmes au Canada, mais aussi mieux comprendre qui sont les dirigeants – et les dirigeantes – d’entreprise.
Elle estime que « la pandémie a mis au jour une certaine fragilité dans les gains sociaux et économiques réalisés par bon nombre de femmes et de groupes sous-représentés en entrepreneuriat. »
« Un plan féministe de reprise doit donner une vision plus large de l’entrepreneuriat pour en faire non seulement une activité économique, mais un vecteur de changement social. Cela signifie venir en aide à tous les types d’entreprises, et non seulement à celles en forte croissance. »
« Si l’on qualifie une politique de féministe, ça sous-entend que les politiques de reprise doivent refléter un engagement envers le renforcement du pouvoir économique des femmes et l’égalité des genres. »