L’Université d’Ottawa évalue ses programmes visés par la Loi sur les services en français

Salle de presse
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L’Université d’Ottawa est mobilisée plus que jamais pour que l’enseignement postsecondaire en contexte francophone minoritaire demeure un maillon essentiel du continuum de l’éducation en français. Fidèle à son engagement à améliorer l’accès à l’enseignement postsecondaire en français, et désireuse de répondre aux besoins et aux préoccupations exprimées le printemps dernier par sa communauté étudiante francophone, l’Université d’Ottawa lance une évaluation de l’offre de ses programmes de premier cycle visés par sa désignation en vertu de la Loi sur les services en français de l’Ontario (LSFO), obtenue en 2016.

Cette analyse permettra de déterminer si les francophones inscrits à ces programmes sont en mesure de suivre, dans leur langue, si c’est leur choix, l’intégralité de leur cursus selon la séquence de cours établie et d’achever leurs études dans les délais prescrits. L’Université se donne pour objectif de boucler cette évaluation d’ici le début de la prochaine année et rendra public ses conclusions.

Cette évaluation constitue une étape importante et cruciale dans la création d’un dynamisme renouvelé de la francophonie sur le campus.  L’Université d’Ottawa tient à maintenir son rôle dans la mouvance de l’enseignement supérieur francophone, et veut continuer d’accueillir des milliers d’étudiantes et étudiants francophones qui désirent poursuivre leurs études dans leur langue. Cette ambition passe par l’accès à une formation de haute qualité permettant d’assurer le rayonnement du français comme langue de travail, d’enseignement et de création.

« De par son histoire et ses valeurs, notre Université ne cessera de placer la langue française et la culture francophone dans toute sa diversité au plus haut de ses priorités institutionnelles », a déclaré Jacques Frémont, recteur et vice-chancelier de l’Université d’Ottawa. « Nous nous engageons à travailler sans relâche pour corriger tout écart et toute inégalité dans l’offre de formation, afin de créer une atmosphère d’apprentissage sereine et favorable à la réussite des francophones et francophiles. »

« L’Université d’Ottawa joue un rôle névralgique dans l’épanouissement et le rayonnement de la francophonie, et c’est une responsabilité que nous voulons continuer d’assumer collectivement, fièrement et résolument », a renchéri Sanni Yaya, vice-recteur, International et Francophonie, de l’Université d’Ottawa. « Nous avons établi depuis plus de dix-huit mois, des chantiers extrêmement ambitieux afin de mieux répondre aux besoins de notre communauté, de manière positive et décomplexée ».

Parallèlement, l’Université d’Ottawa procède également au suivi de ses engagements envers le renouveau de la francophonie. Elle compte faire d’autres annonces qui reflètent sa volonté de continuer d’inscrire la langue française et la culture francophone au cœur de sa mission éducative.

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