Les virus pourraient-ils faire avancer d’un pas l’immunothérapie anticancéreuse?

Média
Salle de presse
Une femme et un homme, en sarraus, sont debout dans un laboratoire de recherche.
Une femme et un homme, en sarraus, sont debout dans un laboratoire de recherche.

L’immunothérapie, utilisée pour aider le système immunitaire à attaquer le cancer, a révolutionné le traitement de certains cancers comme le mélanome et la leucémie. Beaucoup d’autres types de cancer y demeurent toutefois résistants. Selon une nouvelle étude menée par des chercheurs à L’Hôpital d’Ottawa et à l’Université d’Ottawa, une combinaison de deux immunothérapies (virus oncolytiques et inhibiteurs de point de contrôle) pourrait être beaucoup plus efficace pour traiter le cancer du sein et possiblement d’autres cancers. L’étude est publiée dans Science Translational Medicine (en anglais). 


« C’était tout à fait extraordinaire de voir que nous pouvions guérir le cancer de la plupart de nos souris, même chez des modèles habituellement très résistants à l’immunothérapie », explique Marie-Claude Bourgeois-Daigneault, Ph.D., auteure principale de l’étude et boursière postdoctorale au sein du groupe de John Bell, Ph.D., à L’Hôpital d’Ottawa et à l’Université d’Ottawa. « Nous croyons que les mêmes mécanismes se manifestent pour les cancers humains, mais il faut poursuivre les recherches afin de faire l’essai de ce type de thérapie chez les humains. » L’étude visait le cancer du sein « triple négatif », cancer du sein le

Lire le communiqué par Institut de recherche de l'Hôpital d'Ottawa.

 

Personnes-ressource pour les médias
 

Néomie Duval
Gestionnaire, Relations avec les médias
Université d’Ottawa
613-240-0275
[email protected]

Jennifer Ganton
Directrice, Communications et relations publiques
Institut de recherche de l'Hôpital d'Ottawa
Bureau : 613-798-5555 x 73325
Cell. : 613-614-5253
[email protected]