La taxe sur le carbone
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Leslie Shiell (anglais seulement)
Professeur adjoint, Département de Science économique, Faculté des sciences sociales
Le domaine de spécialisation du professeur Shiell est économie de l'environnement, avec un accent particulier sur le changement climatique et la politique de lutte contre le changement climatique.
« Voici la question : Si seuls les 20 pour cent les plus riches sont exposés à la taxe sur le carbone sur une base nette, après prise en compte du remboursement pourquoi le gouvernement prend-il la peine de taxer la plupart d'entre nous - les 80 pour cent restants - pour simplement nous redonner l'argent ? Pourquoi ne pas se concentrer sur les 20 pour cent les plus riches ? »
Jean-Thomas Bernard (français et anglais)
Professeur invité, Département de science économique, Faculté des sciences sociales. Chercheur affilié, Institut de l'environnement.
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Les recherches du professeur Bernard portent notamment sur des sujets liés à l'économie de l'énergie.
« L'objectif est de réduire les gaz à effet de serre (GES). La taxe sur le carbone attaque directement les émissions de GES alors que les autres mesures le font indirectement et sont plus coûteuses. Beaucoup d'études ont été réalisées sur ce sujet et montrent qu’elle a causé une baisse dans les émissions sans réduire la croissance de l'économie. La Colombie Britannique applique une taxe sur le carbone depuis 2008. »
Stewart Elgie (anglais seulement)
Directeur, Institut de l’environnement, et Professeur agrégé, Faculté de droit - Section de common law.
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L'expertise du professeur Elgie porte sur le droit et la politique en matière d'environnement et de ressources naturelles; le changement climatique et le réchauffement de la planète; l'économie de l'environnement et les politiques de protection; la Constitution et l'environnement.
Nicholas Rivers (anglais seulement)
Professeur agrégé, École supérieure d'affaires publiques et internationales, Faculté des sciences sociales, et membre de l'Institut de l'environnement.
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Les intérêts de recherche du professeur Rivers portent sur l'évaluation économique des politiques environnementales, à l'aide de méthodes économétriques et computationnelles. De 2011 à 2021, il a été titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les politiques climatiques et énergétiques.