Violence politique au Pérou

Par Paul Logothetis

Conseiller, Relations de presse, uOttawa

Expertise universitaire
Scène de rue d'une manifestation violente
Expertise universitaire disponible pour commenter ou contextualiser le sujet suivant : Violence politique au Pérou

Vous pouvez communiquer directement avec les experts suivants :

Salvador Herencia Carrasco (français, anglais et espagnol)

Directeur de la Clinique de Droits de la Personne (CREDP) et professeur à temps partiel, Faculté de droit – Section droit civil.

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Le professeur Herencia Carrasco peut discuter de la situation des droits de l'homme dans son pays natal, le Pérou. Le HRREC intervient actuellement devant les tribunaux et soutient les ONG sur le terrain au Pérou.

« Depuis le début des protestations le mois dernier, la réponse de la police a été violente et disproportionnée, avec au moins 60 morts. Alors que les manifestations doivent reprendre mardi, ces affrontements alimentent la fracture sociale et raciale dans le pays. »

 

Marie-Chrisine Doran (français, anglais et espagnol)

Professeure titulaire, École d'Études politiques, Faculté des sciences sociales, et directrice de l’Observatoire violence, criminalisation et démocratie.


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« La violence démesurée continu d’être exercée par la police péruvienne contre la population qui manifeste depuis des semaines pour trouver une issue à la crise politique et tenir des élections suite à la destitution du Président autochtone Pedro Castillo. Les grandes manifestations prévues à Lima en fin de semaine n’ont pas amené le nouveau gouvernement dirigé par la Présidente Dina Boluarte à dialoguer avec la population et la réponse du gouvernement continue d’être la violence et la poursuite de l’état d’urgence qui suspend les garanties civiles. »