Faites la connaissance de Adrien Palate
Quel a été votre dernier changement de carrière ?
J’occupe le poste d’analyste principal des processus opérationnels à l’Université d’Ottawa depuis novembre 2022.
Qu’est-ce qui a contribué à sa réussite ?
Vivant précédemment en Belgique, j’ai dû passer les entretiens à distance, ce qui n’a pas été simple notamment avec le décalage horaire ! Je pense que le contact a directement été bon dans mes échanges avec les personnes traitant ma candidature. De plus, j’ai compris que, ma solide expérience en tant qu’analyste fonctionnel et d’affaire dans un contexte de consultance en TI, ainsi que ma bonne connaissance de l’approche agile et de ses implications ont été des atouts certains au moment de décider de m’offrir ce poste à l’université.
Quel a été l’obstacle le plus important à surmonter afin de vous adapter à votre nouveau rôle ?
Au-delà du rôle lui-même, accepter l’offre de l’université a été synonyme d’un bouleversement dans ma vie. Ma prise de fonction en 2022 s’est accompagnée d’un déménagement de l’autre côté de l’Atlantique ainsi que de la découverte du secteur académique que je ne connaissais pas autrement qu’en tant qu’étudiant. Il m’a fallu quelques mois afin de m’adapter à la culture canadienne et au contexte particulier de notre département TI, mais je pense que j’ai bien su m’acclimater et m’intégrer !
Quels conseils donneriez vous à une personne qui envisage de changer de poste ?
Il faut toujours bien prendre le temps de lire la description du poste et mettre dans la balance le positif et le négatif. Les motivations ne peuvent pas être que financières au risque que les journées de travail semblent longues. Et enfin, dans la mesure du possible, essayer d’entrer en contact avec d’autres personnes occupant la même fonction, cela permet d’avoir une rétroaction concrète sur les tâches qui seront demandées.
De quelle manière les collègues peuvent ils aider une personne à effectuer une transition vers ses nouvelles responsabilités ?
Un nouveau poste s’accompagne toujours d’une partie de stress. Je pense que les collègues permettent de relativiser et d’apporter une autre façon de voir les choses. Il faut à mon sens toujours être ouvert à la rétroaction des autres, car même s’ils ne sont pas forcément pas faciles à entendre ils permettent de nous rendre meilleur en mettant en lumière des points d’améliorations dont on n’a parfois pas connaissance nous-mêmes.
Quel ingrédient ne doit jamais se trouver sur une pizza ?
Au risque de déplaire à mes collègues québécois, j’ai horreur des ananas sur les pizzas !
Quels trois articles apporteriez vous si vous étiez envoyé sur une île déserte ?
Du Coca-Cola (mes collègues pourront confirmer que j’en ai toujours qui traine sur mon bureau), un magazine automobile (car je suis un adepte invétéré de voitures) et une casserole (car je préfère toujours un plat cuisiné) !