La grève des chauffeurs d'Uber et de Lyft

Par Bernard Rizk

Media Relations Officer, uOttawa

Expertise universitaire
La grève des chauffeurs d'Uber et de Lyft
Expertise universitaire disponible pour commenter ou contextualiser le sujet suivant:

La grève des chauffeurs d'Uber et de Lyft

Vous pouvez communiquer directement avec / Members of the media may directly contact:

David Gray (anglais et français)

Professeur agrégé, Science économique, Faculté des sciences sociales

[email protected]

Grâce à son expertise, le professeur Gray peut commenter la grève du point de vue de la politique du marché du travail.

« Dans des conditions normales, on pourrait s'attendre à ce que le marché du travail fasse son travail en veillant à ce que ces chauffeurs reçoivent un salaire décent. Ils devraient cesser d'exercer leur métier tant qu'ils n'auront pas reçu une rémunération compétitive. Puisqu'il semble que ce ne soit pas le cas, le moment est peut-être venu pour le gouvernement de les déclarer salariés (par opposition aux entrepreneurs indépendants), qui seraient alors soumis au salaire minimum. Cette menace pourrait inciter les employeurs à proposer des systèmes de rémunération plus attrayants. Cela entraînerait certainement une augmentation des tarifs. »

Gilles Levasseur (anglais et français)

Professeur à temps partiel, Faculté de droit – Section de droit civile; École de gestion Telfer

[email protected]

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Le professeur Levasseur peut s'exprimer sur le droit du travail et la gestion des ressources humaines.

Il peut répondre aux questions suivantes :

  • Que peuvent faire Uber et Lyft pour augmenter les salaires de leurs chauffeurs ?
  • Que se passera-t-il pour Uber et Lyft si elles n'augmentent pas les salaires de leurs chauffeurs ?
  • Quelles sont les approches adoptées par Uber et Lyft pour inciter davantage de femmes à travailler pour ces entreprises ?