Durant son séjour, elle a pu participer aux activités de l’Institut et y présenter ses recherches, soit les effets des commissions de vérité et de réconciliation sur les victimes. Plus spécifiquement, elle s’est concentrée à creuser le lien entre les commissions de vérité et de réconciliation (CVR) et le courant de la justice réparatrice, qui est souvent évoqué pour justifier le choix de cette forme de justice après un conflit. Elle a tenté de déterminer si celles-ci peuvent réellement être qualifiées de formes de justice réparatrice du point de vue des victimes, et quels sont les effets de cette qualification.
« Je suis très reconnaissante de cette expérience d’échange d’idées avec des collègues d'autres régions du monde. C’est essentiel pour une formation doctorale. »
Justine Monette-Tremblay