Notre équipe

Professeur et président, Département d'économie, de justice et d'études politiques
Université Mount Royal (Calgary, Alberta)

Duane Bratt est professeur de sciences politiques et directeur du département d'économie, de justice et d'études politiques de la Mount Royal University (Calgary, Alberta). Il a fait ses études aux universités de Windsor (BA 1991, MA 1992) et en Alberta (Ph.D 1996). Il enseigne dans le domaine des relations internationales et des politiques publiques canadiennes. Ses recherches portent principalement sur la politique nucléaire canadienne. Parmi les publications récentes: co-éditeur, Orange Chinook: Politics in the New Alberta (University of Calgary Press, 2019), co-éditeur, Readings in Canadian Foreign Policy: Classic Debates and New Ideas (3e édition, Oxford University Press, 2015) et auteur de Canada, the Provinces, and the Global Nuclear Revival (McGill-Queen’s University Press, 2012). Ses projets actuels comprennent l’évaluation des risques du processus de sélection des sites de déchets nucléaires du Canada. Duane est également un commentateur régulier des événements politiques.​​​​​​

Ancien membre permanent
Office national de l'énergie

Rowland Harrison a plus de 45 ans d'expérience dans les questions de réglementation énergétique au Canada, en tant que haut fonctionnaire du gouvernement, avocat et consultant en pratique privée et en tant qu'universitaire. De 1997 à 2011, il a servi deux mandats successifs en tant que membre permanent de l'Office national de l'énergie (ONÉ, prédécesseur de la Réglementation de l'énergie du Canada) à Calgary, ce qui en fait l'un des membres les plus anciens de l'histoire de l'Office. Depuis sa retraite de l'ONÉ en 2011, M. Harrison a été engagé comme consultant auprès de l'industrie, du gouvernement et des ONG sur une variété de questions de réglementation de l'énergie. De 2012 à 2015, il a été titulaire de la Chaire TransCanada en droit administratif et réglementaire de l'Université de l'Alberta. Il est co-rédacteur en chef d'Energy Regulation Quarterly. En 2013, il a reçu un prix Energy Bear du Energy Law Forum pour sa contribution à la réglementation de l'énergie au Canada. Il a été nommé conseiller de la reine par le gouvernement de l'Alberta en 2006.

Professeur agrégé, Département de science politique
Université de Montréal

Erick Lachapelle s'est joint à la faculté de l'Université de Montréal en août 2011 après avoir obtenu son doctorat de l'Université de Toronto. Erick est chercheur principal pour les Enquêtes canadiennes sur l'énergie et l'environnement et EcoAnalytics. Il a été expert pour le Intergovernmental Panel on Climate Change 5^th Assessment Report (Working Group III) et pour le National Climate Change Adaptation Research Facility en Australie. La recherche d'Erick examine les politiques comparatives du changement climatique, l'opinion publique environnementale et la communication politique autour de la politique climatique et de la transition vers une économie propre. La recherche récente d'Erick est apparue dans Global Politics, Climate Policy, Energy Policy, et Oxford Encyclopedia of Climate Science, entre autres.

Professeure adjointe, Département de science politique
Université du Nouveau-Brunswick

Heather Millar est Professeure adjointe au Département de science politique de l'Université du Nouveau-Brunswick à Fredericton. Ses intérêts de recherche comprennent les politiques provinciales canadiennes en matière d'énergie et de climat; perception des risques, apprentissage politique et changement de politique; et l'acceptation sociale des nouvelles technologies. Elle a publié des articles de recherche dans les sciences politiques, les politiques publiques et l'administration, la Revue canadienne de science politique et l'administration publique canadienne.

Elle a auparavant détenu une bourse postdoctorale du CRSH avec l'ISSP (2010-2020) et une bourse postdoctorale avec le laboratoire de gouvernance environnementale à la Munk School of Global Affairs and Public Policy (2018-2019). Elle détient un doctorat en science politique de l'Université de Toronto (2019) et une maîtrise en politique publique de l'Université Simon Fraser (2010). Auparavant, elle a occupé des postes de direction dans le secteur canadien sans but lucratif et possède de l'expérience dans divers domaines politiques, notamment le logement, la réduction de la pauvreté, la sécurité alimentaire et le développement international.

Directeur exécutif
Mannkal Economic Education Foundation

Andrew Pickford travaille dans les domaines de la stratégie, des politiques et du conseil aux entreprises sur les marchés internationaux. Il fournit des conseils stratégiques et des informations aux administrateurs de sociétés, aux ministres du gouvernement et aux cadres supérieurs. Andrew possède une expérience de la gestion des risques, de la planification stratégique et des prévisions dans le secteur du gaz naturel, de l'électricité et des ressources. De la grande stratégie aux tendances économiques à long terme, il a travaillé avec des stratèges distingués et des chefs d'entreprise expérimentés dans le monde entier. Ces antécédents et cette expérience ont permis à Andrew de produire des idées et des conseils qui sont facilement compris et mis en œuvre par les administrateurs, les ministres et les cadres supérieurs, tout en conservant une approche approfondie et unique de l'analyse complexe. Il termine actuellement un doctorat à l'University of Western Australia.

Professeur agrégé et Directeur, Pacific Marine Energy Center
Oregon State University 

Bryson Robertson, Ph.D. est directeur du Pacific Marine Energy Center et professeur agrégé de génie civil. En tant que directeur du PMEC, il aide le centre à donner une voix objective concernant les opportunités, les capacités et les effets de l'énergie marine. Ses recherches portent sur l'avenir de nos systèmes d'électricité et d'énergie en Amérique du Nord. le lien entre technologie, politique, économie et société sur la décarbonisation des systèmes électriques; et les exigences du public en matière de transition du système d'alimentation. Dans le cadre de recherches complémentaires, Bryson Robertson, Ph.D. développe également des évaluations détaillées des ressources en énergie éolienne houlomotrice, marémotrice et en mer, optimise les technologies de récupération d'énergie et intègre numériquement l'énergie marine dans le réseau électrique; à une variété d'échelle et d'opportunités.

PDG
Nanos Research

Nik Nanos dirige une des entreprises de recherche les plus réputées au Canada et aussi a été nommé Global Fellow au Woodrow Wilson International Center for Scholars à Washington, DC, est attaché de recherche à la State University of New York à Buffalo, et est actuellement professionnel en résidence de l’Université d’Ottawa. Il a été nommé associé de l’ARIM (AARIM), l’attestation professionnelle la plus élevée dans le secteur de la recherche marketing au Canada. Outre la production hebdomadaire du Nanos Power Index, qui fait état de la force des partis politiques fédéraux, M. Nanos dirige également l’équipe qui prépare chaque semaine le Bloomberg Nanos Canadian Confidence Index, ressource jugée essentielle pour les dirigeants d’entreprise.

M. Nanos présente chaque semaine une chronique à l’émission PowerPlay diffusée à CTV, intitulée Nanos on the Numbers, qui porte sur les plus récentes tendances du monde politique, des affaires et de la société. Il siège actuellement au comité éditorial du Canadian Journal of Professional Communication à l’Université McMaster.  Outre sa vaste expérience en recherche et en communications, M. Nanos est un ancien président d’une grande compagnie œuvrant dans les relations gouvernementales.  Cette combinaison unique de compétences en recherche, d’expertise en communication et de connaissance du client fait de M. Nanos un des stratèges les plus réputés au Canada. Il est le sondeur officiel de CTV News, The Globe and Mail et de Bloomberg News au Canada.

Chercheuse postdoctorale
École de génie électrique et d'informatique, Université d'Ottawa

Meghan Beattie est une boursière postdoctorale au sein du groupe de recherche solaire SUNLAB de l'École de génie électrique et d'informatique de l'Université d'Ottawa.

Elle est titulaire d'un doctorat en physique de l'Université d'Ottawa (2021) et d'un baccalauréat ès sciences en physique de l'Université Queen's (2015). Meghan a rejoint le SUNLAB en tant qu'étudiante diplômée en 2015, où elle a étudié les matériaux et dispositifs semi-conducteurs pour la production d'énergie photovoltaïque à haut rendement.

Elle a commencé à travailler avec le programme Énergie positive de l'ISSP en tant que boursière postdoctorale en 2021, tout en continuant à travailler avec le SUNLAB. Elle s'intéresse vivement au paysage de la politique énergétique au Canada et à la façon de combler le fossé entre les décideurs politiques et la communauté scientifique et technique.

Candidat au doctorat
School of Environmental Studies, University of Victoria

James Donald est titulaire d'une maîtrise en économie et en philosophie de l'Université d'Aberdeen et d'une maîtrise en technologie de l'environnement de l'Imperial College de Londres. Après sa maîtrise, il a travaillé pendant plusieurs années dans le secteur des énergies renouvelables au Royaume-Uni, d'abord pour Shell, puis pour Iberdrola. Au cours de cette période, il s'est intéressé aux obstacles socio-économiques à la transition des systèmes énergétiques aux combustibles fossiles. Il étudie actuellement comment les réponses sociales influent sur l'acceptabilité de différentes voies de décarbonisation de l'énergie. Il travaille actuellement sur sa thèse en collaboration avec le projet Énergie positive et le Pacific Institute for Climate Solutions.

Candidat au doctorat
École d’études politiques, Université d'Ottawa

Julien est candidat au doctorat en administration publique et politiques publiques à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa. Ses recherches doctorales portent sur les transitions énergétiques à grande échelle aux Émirats arabes unis. Il est titulaire d'une maîtrise en politique énergétique et d'une maîtrise en géopolitique et grande stratégie de l'Université du Sussex, et d'un BA en études politiques de l'Université américaine de Beyrouth.

Chef, planification et gestion des ressources

Professionnelle expérimentée des politiques publiques et de la gestion publique, Katherine apporte à l'ISSP une expérience approfondie de la conception et de la gestion d'instituts universitaires dotés de mandats en politiques publiques et en recherche scientifique. Ses travaux antérieurs incluent le développement de réseaux entre organisations du secteur public, universitaires et groupes communautaires, ainsi que de stratégies pour améliorer la mobilisation des connaissances. Katherine est diplômée du Trinity College, de l'Université de Toronto (B.A. en histoire) et de l'Université Carleton (M.A. en administration publique).

Coordinatrice du programme
Énergie positive

Titulaire d'un doctorat en santé de la population de l'Université d'Ottawa, Patricia s'intéresse vivement à l'intégration de la gestion des risques sanitaires et environnementaux dans la prise de décisions politiques et réglementaires dans les secteurs autres que celui de la santé. De 2019 à 2021, en tant qu'associée principale de recherche, Patricia a réalisé des études sur Énergie positive portant sur les questions politiques et socio-économiques susceptibles d'affecter la polarisation et la confiance du public dans la prise de décision en matière de capture, d'utilisation et de stockage du carbone, et sur ce qui fonctionne dans l'identification et la mise à l'échelle d'innovations réussies dans la prise de décision réglementaire en matière d'énergie au Canada. Parmi ses autres expériences en matière de gestion de projet, citons le projet de recherche interdisciplinaire et international de l'ISSP, @Risque : Comment renforcer la gouvernance des risques au Canada, ainsi qu'un sondage auprès d'experts mondiaux sur les risques sanitaires et environnementaux et les incertitudes liées au captage et au stockage du carbone. Patricia est l'ancienne présidente du Applied Risk Management Specialty Group de la Society for Risk Analysis et experte associée de Risk Sciences International.

Cadre en résidence
Énergie Positive

Ingénieur professionnel, il possède plus de 45 ans d'expérience en tant que cadre et entrepreneur dans les secteurs privé et public. David combine une solide formation en affaires, en ingénierie et en comptabilité, une expérience de la réglementation des services publics et une connaissance approfondie de la politique énergétique. En tant que commissaire, puis président et directeur général de la British Columbia Utilities Commission (BCUC) pendant plus de dix ans, il a acquis une connaissance approfondie de l'intersection entre les infrastructures d'énergie traditionnelle et renouvelable et les politiques publiques.

Au sein de la BCUC, David a participé à de nombreuses décisions sur une grande variété d'applications de services publics. En outre, il a initié et souvent participé à un certain nombre d'enquêtes sur des domaines clés de la politique énergétique.
Depuis son départ de la BCUC en 2023, David reste activement engagé dans les associations nationales et internationales de réglementation et d'énergie.

David est un conférencier, un auteur et un expert-conseil pour les régulateurs, les gouvernements et les services publics du monde entier. Il a fait des présentations à des agences dans 20 pays d'Amérique du Nord et du Sud, d'Europe, d'Asie et d'Afrique.

Directrice de recherche
Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique

En mars 2017, Marisa Beck s’est jointe à l’équipe de l’ISSP en tant que chercheuse‑boursière de niveau postdoctoral dans le cadre du projet de recherche Énergie positive. Marisa a obtenu son doctorat en gouvernance mondiale de la Balsillie School of International Affairs (Université de Waterloo), où elle était titulaire d’une bourse d’études supérieures du Canada Vanier. En 2014‑2015, elle a été chercheuse invitée à l’Integrative Research Institute on Transformations of Human-Environment Systems (IRITHESys) à l’Université Humboldt de Berlin, en Allemagne. Ses travaux de recherche portent sur les politiques et les processus de prise de décisions fondées sur des preuves en matière de politiques climatiques et énergétiques. Elle souhaite particulièrement comprendre les facteurs qui poussent les décideurs à solliciter et à utiliser des preuves pour la prise de décisions. Elle détient une maîtrise en politiques et réglementation environnementales de la London School of Economics et un grade d’études supérieures en administration des affaires de l’Université de Mannheim en Allemagne. Avant de venir au Canada en 2012 pour son doctorat, Marisa a occupé le poste d’analyste des marchés mondiaux du carbone auprès d’un important fournisseur de recherche et d’information pour les marchés du carbone et de l’énergie propre à Londres, au Royaume-Uni.

Stephen Blank (B.A., Dartmouth; M.A., Cambridge; M.A., Ph.D., Harvard) a une carrière qui chevauche le monde universitaire (Université de Pittsburgh, Université Pace, nombreux engagements comme professeur invité), le milieu des affaires (partenaire fondateur de MultiNational Strategies Inc.) et le secteur caritatif (Ford Foundation, Conference Board). Reconnu pour ses travaux sur l’intégration nord‑américaine, il est professionnel en résidence et conseiller spécial du Collaboratoire sur les recherches et les politiques énergétiques de l’Université d’Ottawa.

M. Blank a été Fellow en affaires internationales au Council on Foreign Relations et chercheur invité à la Villa Serbelloni en Italie, professeur Claude Bissell en relations canado-américaines à l’Université de Toronto, professeur Fulbright à l’Université de Montréal, professeur Ross invité à la Western Washington University, et titulaire de la chaire de recherche Fulbright en gouvernance et administration publique de l’Université d’Ottawa. Il a été directeur exécutif du PanAm Partnership for Business Education et coprésident du North American Transportation Competitiveness Research Council. M. Blank a rédigé ou corédigé de nombreux ouvrages et articles. Il est membre du Council on Foreign Relations et a été nommé Chevalier de l’Ordre national du Québec.

Spécialiste des communications et de liaison
Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique

Rafael est un professionnel de la communication, spécialisé dans les communications internationales et la gestion des parties prenantes dans les domaines académique et scientifique, afin de promouvoir un changement positif et de gérer les problèmes complexes d'information mondiale, 

Il possède une vaste expérience dans le marketing numérique, la création de contenu et l'amplification de marque, à travers la conception graphique, la conception de contenu Web, la diffusion sur les médias sociaux, les bulletins électroniques, le montage vidéo et la diffusion / publication de podcast.

Rafael détient une maîtrise en affaires internationales avec une spécialisation en politique économique internationale de l'École Norman Paterson des affaires internationales (NPSIA) à l'Université Carleton et aussi un LL. B. (baccalauréat en droit) de l'Université fédérale du Parana.

Dr. Stewart Fast a apporté une expertise significative en recherche énergétique et environnementale, doublée d’une solide expérience de l’interdisciplinarité. Boursier postdoctoral à l’Institute for Energy and Environmental Policy (Université Queen’s), chercheur invité à l’International Institute for Industrial Environmental Economics (Université Lund), il a aussi occupé le poste de gestionnaire des normes de certification du Canada en matière d’étiquetage environnemental. Son doctorat (Géographie, Université d’Ottawa) s’est penché sur les réactions sociales aux nouvelles technologies énergétiques renouvelables, domaine dans lequel il a publié une douzaine d’articles. Titulaire d’un baccalauréat ès sciences en botanique (Plant Science, McGill), il a appliqué aux biocarburants, dans le cadre de sa maîtrise ès arts (Carleton), la méthode d’évaluation par modélisation du cycle de vie. Avant, il était membre du conseil d’administration de l’Ottawa Renewable Energy Co-operative, une coopérative locale de production d’énergie qui connaît un vif succès, il est aussi expert-vérificateur des demandes de financement auprès des Centres d’excellence de l’Ontario pour la commercialisation de technologies et services novateurs. 

Associé principal de recherche
Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique

Brendan Frank est Associé principal de recherche à l'ISSP et occupe actuellement le poste de Directeur de recherche intérimaire. Il présente le nouveau podcast de l'ISSP, Rupture raportée.

M. Frank arrive à l’ISSP après trois ans comme associé de recherche à la Commission de l’écofiscalité du Canada. Sa formation est en sciences (baccalauréat en sciences environnementales, Université Queen’s) et en politiques publiques (maîtrise en politiques publiques, Université de Calgary), et il possède une solide expérience en recherche et en mobilisation des connaissances dans les secteurs public, privé et civique. Brendan a travaillé auparavant avec Ressources naturelles Canada et dans le secteur pétrolier et gazier de l'Alberta et est actuellement associé au Youth Climate Lab.

Josh a obtenu son diplôme en sciences politiques et en administration publique de l’Université d’Ottawa. Originaire de Steinbach au Manitoba, il s’intéresse depuis longtemps aux politiques énergétiques. De par sa double ascendance ojibway et salvadorienne, il s’intéresse de près aux avantages et aux retombées des politiques énergétiques pour les peuples autochtones du Canada. Par le passé, l’intérêt qu’il porte aux politiques autochtones l’a amené à travailler pour Affaires autochtones et Développement du Nord Canada et pour le conseil coutumier des Premières Nations Anishinabe de Roseau River, sa communauté d’origine. Il travaille actuellement au Frontier Centre for Public Policy avec Tom Flanagan, président d’Aboriginal Futures. Outre le domaine des politiques, ses intérêts portent sur la pêche, la chasse, le hockey, le golf, le ski et la Guerre de sécession américaine.

Sébastien est étudiant au doctorat en administration publique à l'École de politique publique d'Ottawa. Sa thèse portera sur la perception des risques chez les membres des Premières nations relativement aux mégaprojets énergétiques dans les secteurs du pétrole et du gaz en Colombie-Britannique et en Alberta. Sébastien est titulaire d'une maîtrise en administration publique de l'École nationale d'administration publique de Montréal et d'un diplôme en droit de l'Université de Montréal. Dans son mémoire de maîtrise, il a travaillé sur l'intégration des peuples autochtones dans les Forces armées canadiennes. Plus précisément, il s'intéressait aux perceptions de l'armée envers les peuples autochtones afin d'évaluer si ces perceptions entravaient ou facilitaient leur intégration dans l'armée.

Lilia Karnizova, professeure agrégée de science économique à l’Université d’Ottawa, a comme domaine d’expertise l’analyse quantitative des cycles d’affaires. Ses recherches visent à comprendre les effets macroéconomiques des changements prévus et imprévus qui surviennent dans les prix de l’énergie, la productivité globale et sectorielle, les politiques monétaires et la confiance du consommateur. Elle a publié des chapitres d’ouvrages et des articles dans diverses revues savantes, dont le Journal of Monetary Economics, le B.E. Journal of Macroeconomics, Empirical Economics et Economics Letters.

Dans ses récentes recherches, elle s’intéresse aux répercussions de l’incertitude de la réglementation et des politiques en matière d’environnement sur les décisions des consommateurs et des entreprises. Dans le cadre du projet Énergie positive, elle fait appel à l’analyse macroéconomique pour établir les coûts globaux de l’incertitude publique entourant les politiques environnementales au Canada.

Elle a obtenu son doctorat à l’Université de la Colombie-Britannique (Canada, 2005) et une maîtrise en économique à l’Université centrale européenne (Hongrie, 1998). Elle a décroché un diplôme de premier cycle avec distinction en mathématiques appliquées de l’Université d’État Yaroslavl (Russie, 1995).

Chercheur en énergie nordique alternative, Lawrence Keyte se spécialise sur les enjeux, besoins et ressources énergétiques de l’Arctique. Adoptant une perspective communautaire, il étudie les liens entre la mobilisation des communautés et la mise en œuvre réussie de projets et politiques d’énergie durable. Il vient de mettre la dernière main à ses recherches pour Polar Knowledge Canada et pour le Carleton Sustainable Energy Research Centre, où il a corédigé un rapport interdisciplinaire intitulé Report on the State of Alternative Energy Provision in the Arctic, qui explore et décrit les occasions de développement de politiques et d’énergie renouvelable dans le nord du Canada. Il vient de compléter sa maîtrise ès arts en développement durable (Trent, Peterborough), avec une thèse sur la résilience énergétique et les clés du succès pour les communautés autochtones du Nord qui veulent passer de la dépendance aux carburants fossiles à un avenir énergétique plus local, autonome, propre et résilient. Sa fascination pour l’interaction entre les énergies alternatives et les enjeux sociaux uniques et complexes des communautés arctiques l’a inspiré pendant ses deux décennies dans le Nord. Il croit aux projets d’énergie propre et durable adoptés par les résidents, qui renforcent les capacités locales et la santé, gardent les fonds voués à l’énergie sur place et apportent des avantages sociaux, économiques et environnementaux durables aux communautés du Nord et aux Autochtones. 

Kyae Lim est une étudiante diplômée du Département de science économique de l’Université d’Ottawa. Avant de s’installer à Ottawa, elle a travaillé comme Research Fellow à la Fondation Asie-Pacifique du Canada à Vancouver, où elle fait le suivi et l’analyse du processus de formulation des politiques d’énergie et d’environnement en Asie de l’Est et du Sud‑Est. Son travail consistait principalement à évaluer les possibles retombées commerciales pour le Canada, plus précisément quant au gaz naturel liquéfié, aux technologies et services en énergie nucléaire et aux technologies en énergie renouvelable et en énergie propre. Elle est détentrice d’une maîtrise en philosophie (Politiques environnementales) de l’Université de Cambridge. Ses recherches portent sur la fixation des prix du carbone, les politiques climatiques et leur impact sur le secteur énergétique, les effets macroéconomiques des prix de l’énergie et le développement durable de l’énergie.

M. McFadyen est Executive Fellow de la School of Public Policy de l’Université de Calgary. C’est un ingénieur qui cumule plus d’une trentaine d’années d’expérience dans la fonction publique et le secteur de l’énergie. Entre février 2008 et décembre 2012, il a été président et chef de la direction du Energy Resources Conservation Board (ERCB) de l’Alberta, l’organisme qui chapeaute la mise en valeur des ressources énergétiques de la province.

Auparavant, il a été sous-ministre d’Énergie Alberta et occupé d’autres postes supérieurs dans le secteur énergétique et dans la fonction publique, notamment comme vice‑président aux affaires réglementaires et aux politiques publiques de l’Association canadienne de pipelines d’énergie et sous-ministre de l’Énergie en Nouvelle-Écosse. Il a également détenu des postes de haute direction dans la fonction publique saskatchewannaise, plus précisément au Saskatchewan Research Council, au ministère de l’Industrie et des Ressources et au ministère de l’Énergie et des Mines. M. McFadyen détient un baccalauréat ès sciences en génie mécanique de l’Université du Manitoba et fait partie de l’Association of Engineers, Geologists, and Geophysicists of Alberta.

Laura Nourallah est candidate au doctorat en administration publique (spécialisation en politiques publiques) à l’École des études politiques de l’Université d’Ottawa. Sa thèse porte sur une étude comparative des orientations, règlements et aspects politiques touchant la fracturation hydraulique au Canada et aux États-Unis, plus particulièrement en ce qui a trait à l’acceptation sociale et à la participation citoyenne dans la formulation des politiques et des règlements. Elle détient une maîtrise en administration publique (Université d’Ottawa), un certificat d’études supérieures en gestion publique et gouvernance (Université d’Ottawa) et un baccalauréat spécialisé en sciences politiques (Université de Toronto). Elle est co-organisatrice du réseau d’étudiants diplômés du Collaboratoire sur les recherches et les politiques énergétiques.

Katherine Pietroniro est une étudiante aux cycles supérieurs dans le programme de Maîtrise des arts en Administration publique à l’Université d’Ottawa. Elle détient un baccalauréat en Histoire de l’Université de King’s College. Ses recherches se penchent sur l’impact de la partisanerie au niveau fédéral sur la politique scientifique canadienne en analysant le financement du Conseil national de recherches du Canada (CNRC) au fil du temps. Katherine a travaillé antérieurement pour le gouvernement fédéral, avec Parcs Canada et avec Ressources naturelles Canada (RNCan) à la Division de la gestion de portefeuille, qui soutient le Ministre dans la gestion des organismes du portefeuille de RNCan, y compris l'Office national de l'énergie (ONÉ) et la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN).

Aimee Richard a été diplômée en premier cycle à la Faculté des sciences sociales en administration publique et en études des femmes de l'Université d'Ottawa. Ses recherches portent notamment sur les impacts des politiques publiques sur les communautés marginalisées, ainsi que sur les politiques culturelles et l'histoire publique. Aimee a déjà occupé plusieurs postes pour le gouvernement fédéral, notamment à Anciens Combattants Canada; Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et au Parlement. L'intérêt d'Aimee pour le projet Énergie positive découle de son expérience personnelle grandissant à Calgary, où la politique énergétique est souvent au premier plan du débat public et où il est nécessaire d'avoir des discussions productives sur l'avenir énergétique du Canada.

Audrey est présentement étudiante de quatrième année à l'Université d'Ottawa, se spécialisant en sciences politiques avec une mineure en études environnementales. Elle a travaillé au sein de l'unité des affaires parlementaires d'Infrastructure Canada et a travaillé comme conseillère pédagogique à l'Université d'Ottawa. Audrey est impliquée dans l'Association de modélisation des Nations Unies à l'université et a fait du bénévolat lors d'événements dirigés par des organisations telles que " Ambassador Speaker Series ". Audrey souhaite poursuivre sa carrière académique dans le domaine des études politiques et environnementales.

Louis Simard détient un doctorat de sociologie de l’Institut d’études politiques de Paris (2003) et une maîtrise en science politique de l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux de recherche portent sur la participation publique dans les secteurs de l’environnement et de l’énergie, et plus particulièrement sur les effets des instruments de participation publique sur les processus de régulation, la mise en œuvre de l’action publique et l’apprentissage organisationnel.  Il travaille actuellement sur l’évolution des instruments de régulation et de participation publique du secteur de l’électricité dans trois provinces canadiennes et sur les professionnels de la participation publique.

Associé de recherche
Énergie positive

Ian T. D. Thomson est diplômé en 2018 de la maîtrise en politique publique de la Munk School of Global Affairs and Public Policy. Originaire de Winnipeg, il est titulaire d'un baccalauréat ès sciences spécialisé en psychologie et d'un baccalauréat ès arts en philosophie de l'Université du Manitoba. Ian s'intéresse de près au paysage énergétique canadien et international. Il a effectué des recherches et publié sur les politiques et réglementations nationales relatives aux oléoducs et gazoducs; initiatives énergétiques et environnementales en milieu urbain; et les politiques internationales relatives aux combustibles nucléaires usés. De plus, il a été président ou directeur exécutif de plusieurs organisations médiatiques à but non lucratif et a également travaillé comme analyste pour le ministère de l'Énergie de l'Ontario. Ian s'intéresse actuellement à la gouvernance énergétique et à la réglementation de l'industrie.

Professeur associé en droit de l'énergie, Faculté de droit
Université de Toronto

George Vegh est à la tête de la division de réglementation de l’énergie à Toronto de McCarthy Tétrault, où il fournit des services de conseil et de défense des intérêts aux clients des secteurs privé et public. George s’intéresse principalement à la réglementation et à la gouvernance des marchés de gros dans le secteur de l’énergie. Avant de rejoindre McCarthy Tétrault, George était avocat général à la Commission de l'énergie de l'Ontario. George est un chef de file du secteur de l'énergie et a présidé la Ontario Energy Association et le IESO Market Forum. Il est actuellement vice-président du conseil d'administration de l'Association of Power Producers of Ontario. Il a également dirigé un certain nombre d'initiatives de l'industrie, notamment des groupes de travail sur la réglementation des tarifs de distribution, le renouvellement de l'infrastructure, la production décentralisée et les connexions de transport pour la production d'énergie renouvelable. George est professeur associé en droit de l'énergie à la faculté de droit de l'Université de Toronto, à la Munk School of Global Affairs et Public Policy, à la faculté de droit de l'Université de Calgary et à la Osgoode Hall Law School, où il est également directeur du programme de maîtrise en droit de l'énergie et des infrastructures.

Sherry Wasilow possède une expérience solide et variée en rédaction, communication, journalisme, élaboration de politiques, analyse et recherche. Par le passé, elle a été rédactrice adjointe du Canadian Journal of Communication; rédactrice scientifique pour une revue américaine sur la toxicomanie; analyste des médias au gouvernement fédéral; analyste législative et de planification stratégique pour l’État du Texas; chargée de projets d’information publique au Canada et aux États‑Unis; et enseignante d’anglais au Guatemala. Son doctorat (Communication, Université de Carleton) s’est penché sur les forces militaires et les relations avec les médias, avec un accent particulier sur les reportages intégrés dans Afghanistan, à l’École de journalisme et de communication. Elle a reçu une bourse de recherches doctorales du Conseil de recherches en sciences humaines et la bourse de doctorat Robert‑McKeown en communication. Elle est titulaire d’une maîtrise en journalisme de l’Université du Texas à Austin, d’un diplôme d’études supérieures en journalisme de l’Université Concordia, et d’un B.A. en sciences politiques de l’Université de Calgary.

Caroline Woodward est étudiante de premier cycle à la Faculté des Sciences Sociales à l’Université d’Ottawa, où elle étudie en science politique avec une mineure en littérature anglaise. Ses intérêts de recherche portent sur l’engagement civique, l’éco-politique, la politique alimentaire, et les systèmes communautaires. Caroline a passé le semestre d’automne 2015 à la Arizona State University, grâce à une bourse Killam (Fulbright), où elle a renforcé ses connaissances de la politique et culture américaines.  Caroline travaille comme stagiaire de recherche avec l’Initiative d’Éducation Autochtone Martin, une organisation philanthropique qui a pour but de favoriser la réussite scolaire des étudiants et étudiantes d’origine Premières Nations, Inuit, et Métis.