Sharon O'Sullivan

Sharon L. O'Sullivan se spécialise dans la communication interculturelle pour l'échange de connaissances et l'adaptation des expatriés, les questions de pouvoir et de diversité/inclusion dans la formation formelle et le développement de carrière, et les alliances d'apprentissage situées pour le changement environnemental. Au cours de sa carrière, elle a collaboré avec diverses organisations trisectorielles, notamment Canadian Feed the Children, Oxfam Canada, CARE Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, l'Institut d'administration publique du Canada et le gouvernement du Canada. Groupe de travail conjoint syndical-patronal sur la diversité et l’inclusion. Sharon a publié dans le Journal of International Business Studies, Human Relations, Human Resource Management, Journal of Management, Journal of World Business, International Business Review, l'International Journal of Human Resource Management et le European Management Journal, entre autres. Son travail a reçu les distinctions de « meilleur critique » et de « meilleur article » lors de plusieurs conférences, notamment à l'Académie de gestion et à l'Académie européenne de gestion. Elle a été certifiée en tant que leader en ressources humaines (CHRL) par la Human Resource Professionals Association of Ontario et en tant que facilitatrice en intelligence culturelle (CQ-Certified, Advanced) par le Cultural Intelligence Center d'East Lansing, Michigan. Elle détient une nomination conjointe avec l'École de développement international et de mondialisation et est affiliée à l'Institut de l'environnement de l'Université d'Ottawa.

Le professeur O’Sullivan développe actuellement un programme de recherche lié à l’apprentissage organisationnel et individuel pour la durabilité environnementale. Son approche méthodologique est qualitative.

Elle recherche quelqu'un qui souhaite adopter une approche méthodologique qualitative sur la manière dont l'apprentissage organisationnel et individuel peut contribuer à la durabilité environnementale.

1. Quelles sont les différences entre les alliances d'apprentissage stratégique et les communautés de pratique (CoP), le cas échéant ? Que devraient utiliser les organisations du secteur privé pour faciliter l’innovation durable au sein de leur organisation ? À quoi les associations industrielles à but non lucratif devraient-elles recourir si elles veulent accélérer le verdissement de l’ensemble de leur secteur économique ?
2. L'innovation durable nécessite également généralement une collaboration étroite avec les organisations « clientes » via un processus appelé « développement de nouvelles activités ». Étant donné le marché relativement petit du Canada, une grande partie de la croissance de notre secteur des technologies propres provient des marchés internationaux. Comment les différences culturelles compliquent-elles le processus de développement d’une nouvelle entreprise et comment ces défis peuvent-ils être atténués ?
3. Quels sont les défis d’apprentissage posés par les alliances intersectorielles (par exemple, secteur privé-ONGI) pour la durabilité environnementale ? (par exemple, quels risques courent les OING environnementales lorsqu’elles s’associent à des entreprises « brunes » du secteur privé, et comment peuvent-elles être gérées pour faciliter l’échange de connaissances entre organisations ?)
4. Travailler avec diverses professions vers l’objectif d’innovation durable nécessite une « expertise adaptative », une « tolérance à l’ambiguïté » et de la créativité, car les problèmes sont souvent multidisciplinaires, non routiniers et personne ne peut être un expert dans tous les domaines. L'expertise adaptative et la tolérance à l'ambiguïté sont-elles des qualités qui peuvent être inculquées par le biais de programmes de formation et de développement ? Si c'est le cas, comment? De même, la créativité peut-elle être enseignée ? Et si oui, comment ? Et enfin, quel rôle l’identité de carrière pourrait-elle jouer dans ces processus ?