Le Professeur Gilles Comeau a récemment reçu un million de dollars sur quatre ans de l'Agence de santé publique du Canada (ASPC) pour un projet axé sur les personnes atteintes de démence ou sur celles qui risquent d'en être atteintes.
La musique - apprentissage, interprétation, création - est universelle dans toutes les sociétés. Elle génère des expériences profondes et significatives tout au long de la vie et améliore considérablement la vie, les interactions sociales et l'identité culturelle des individus. La musique est une expérience humaine riche, car elle nous touche sur le plan émotionnel et affecte directement notre humeur, et elle encourage les stimulations sensorielles et cognitives, l'activité physique et l'interaction sociale. Chacun de ces éléments peut à son tour déclencher des réactions psychologiques, physiologiques, sociales et comportementales qui sont elles-mêmes liées à des résultats en matière de bien-être. De nombreuses études, dont un examen approfondi réalisé par l'Organisation mondiale de la santé, ont montré que l'engagement dans la musique peut améliorer le bien-être subjectif, susciter des émotions positives dans la vie quotidienne, contribuer à la satisfaction de la vie et accroître le bien-être social et la qualité de vie. Cette solide base de données sert de fondement au projet actuel.
L'objectif principal est de mettre en œuvre et d'évaluer des interventions musicales communautaires visant à améliorer le bien-être des personnes atteintes de démence, de leurs familles, de leurs aidants et des populations à risque. Le projet vise à rassembler diverses parties prenantes, notamment des organisations communautaires, des éducateurs musicaux, des thérapeutes, des travailleurs sociaux et des professionnels de la santé, qui considèrent la musique comme une ressource utile.
Le projet a évolué grâce à des collaborations avec des partenaires clés tels que Bruyère, Le Royal, le Centre des services communautaires Vanier, la Société de la démence d'Ottawa et du comté de Renfrew, Radical Connections et l'Institut de recherche sur le cerveau et l'esprit de l'Université d'Ottawa. Ces collaborations s'étendent à divers établissements de soins de santé et milieux communautaires, ce qui garantit une approche holistique.
S'appuyant sur des recherches établies, le projet explorera une intervention basée sur le Dalcroze. Cette approche intègre le mouvement et la musique, et s'attaque aux facteurs de risque que sont l'inactivité physique et le manque d'interaction sociale. La musique et le mouvement, fondés sur la méthodologie Dalcroze, ont montré leur faisabilité et leur innocuité pour les personnes âgées souffrant de troubles cognitifs légers ou de démence légère.
L'objectif est de mettre en œuvre et de tester des interventions musicales en groupe afin d'évaluer leur impact sur le bien-être et la qualité de vie, ainsi que leur influence sur deux facteurs de risque liés à la démence - l'inactivité physique et le manque de contacts sociaux. En outre, nous visons à développer un modèle de musique sur ordonnance, offrant des lignes directrices pour une participation musicale optimale, un programme de formation en apprentissage pour les éducateurs musicaux, et des recommandations pour la mise en œuvre et la durabilité.
Ce projet global vise à exploiter le langage universel de la musique pour améliorer le bien-être des personnes confrontées aux défis de la démence et du vieillissement. Grâce à une solide conception de la recherche, à divers partenariats et à l'accent mis sur les interventions communautaires, le projet a le potentiel de contribuer de manière significative au domaine de la musique et de la santé.
La musique - apprentissage, interprétation, création - est universelle dans toutes les sociétés. Elle génère des expériences profondes et significatives tout au long de la vie et améliore considérablement la vie, les interactions sociales et l'identité culturelle des individus. La musique est une expérience humaine riche, car elle nous touche sur le plan émotionnel et affecte directement notre humeur, et elle encourage les stimulations sensorielles et cognitives, l'activité physique et l'interaction sociale. Chacun de ces éléments peut à son tour déclencher des réactions psychologiques, physiologiques, sociales et comportementales qui sont elles-mêmes liées à des résultats en matière de bien-être. De nombreuses études, dont un examen approfondi réalisé par l'Organisation mondiale de la santé, ont montré que l'engagement dans la musique peut améliorer le bien-être subjectif, susciter des émotions positives dans la vie quotidienne, contribuer à la satisfaction de la vie et accroître le bien-être social et la qualité de vie. Cette solide base de données sert de fondement au projet actuel.
L'objectif principal est de mettre en œuvre et d'évaluer des interventions musicales communautaires visant à améliorer le bien-être des personnes atteintes de démence, de leurs familles, de leurs aidants et des populations à risque. Le projet vise à rassembler diverses parties prenantes, notamment des organisations communautaires, des éducateurs musicaux, des thérapeutes, des travailleurs sociaux et des professionnels de la santé, qui considèrent la musique comme une ressource utile.
Le projet a évolué grâce à des collaborations avec des partenaires clés tels que Bruyère, Le Royal, le Centre des services communautaires Vanier, la Société de la démence d'Ottawa et du comté de Renfrew, Radical Connections et l'Institut de recherche sur le cerveau et l'esprit de l'Université d'Ottawa. Ces collaborations s'étendent à divers établissements de soins de santé et milieux communautaires, ce qui garantit une approche holistique.
S'appuyant sur des recherches établies, le projet explorera une intervention basée sur le Dalcroze. Cette approche intègre le mouvement et la musique, et s'attaque aux facteurs de risque que sont l'inactivité physique et le manque d'interaction sociale. La musique et le mouvement, fondés sur la méthodologie Dalcroze, ont montré leur faisabilité et leur innocuité pour les personnes âgées souffrant de troubles cognitifs légers ou de démence légère.
L'objectif est de mettre en œuvre et de tester des interventions musicales en groupe afin d'évaluer leur impact sur le bien-être et la qualité de vie, ainsi que leur influence sur deux facteurs de risque liés à la démence - l'inactivité physique et le manque de contacts sociaux. En outre, nous visons à développer un modèle de musique sur ordonnance, offrant des lignes directrices pour une participation musicale optimale, un programme de formation en apprentissage pour les éducateurs musicaux, et des recommandations pour la mise en œuvre et la durabilité.
Ce projet global vise à exploiter le langage universel de la musique pour améliorer le bien-être des personnes confrontées aux défis de la démence et du vieillissement. Grâce à une solide conception de la recherche, à divers partenariats et à l'accent mis sur les interventions communautaires, le projet a le potentiel de contribuer de manière significative au domaine de la musique et de la santé.