Dans cette affaire, la Cour suprême est appelée à examiner le conflit qui existe entre la vie privée et la transparence lorsqu'un défendeur dans une action cherche à accéder à de vastes ensembles de données de santé pour contester les résultats de l'analyse du demandeur. Il s'agit d'une question importante et opportune à la lumière de l'utilisation et la dépendance accrue de la société par rapport aux ensembles de données volumineuses et des technologies algorithmiques de prise de décision.
L'équipe de la CIPPIC a notamment bénéficier de la contirbuton de la professeure Teresa Scassa, Chaire de recherche du Canada en droit de l'information et membre du Centre.
Selon la CIPPIC, le conflit entre la vie privée et la transparence sera médiatisé par la double protection des procédures d'anonymisation, mises en œuvre conformément aux lignes directrices familières à l'industrie de la santé, et des sauvegardes judiciaires flexibles intégrées dans les ordonnances de divulgation.