Le Cabinet du vice-recteur à la recherche et à l’innovation a profité du récent lancement de son Programme de mobilité doctorale en France pour consolider ses liens avec des universités de recherche françaises clés.
« L’Université d’Ottawa jouit d’une excellente réputation dans le monde scientifique francophone, notamment en France. Depuis plus de 20 ans, le vice-rectorat à la recherche et à l’innovation gère, conjointement avec l’Ambassade de France au Canada, le Fonds France-Canada pour la recherche. Et depuis peu, nous abritons également le Bureau canadien du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) au Canada. Cet organisme français est l’un des plus importants établissements de recherche à l’échelle mondiale et sa présence sur notre campus renforce notre coopération avec nos principaux partenaires », souligne la vice-rectrice associée à la promotion et au développement de la recherche, Martine Lagacé.
De nombreuses rencontres, tant en présentiel qu’en ligne, ont eu lieu au début du mois de mars, permettant entre autres à l’Université de signer un accord d’une durée de cinq ans avec l’Université Jean Monnet (UJM), à Saint-Étienne, qui vise à renforcer les liens entre les deux établissements en matière de recherche. Quatre grands axes thématiques ont été identifiés, soit la photonique, le droit, la prévention en matière de santé, ainsi que les arts et les sciences humaines et sociales. Cet accord avec l’UJM s’inscrit dans la continuité du premier protocole d’entente signé en 2018 et vise à élargir les échanges entre les deux établissements dans des domaines d’intérêt commun.
Pour cet événement, l'Université d'Ottawa et l'Université Jean Monnet étaient représentés par Christelle Bahier-Porte, Vice-présidente chargée la recherche de l’UJM, Florent Pigeon, Président de l’Université Jean Monnet, François Carrier, Directeur, Recherche internationale et apprentissage expérientiel de l’Université d’Ottawa, Alain Trouillet, Vice-président chargé de la Formation et des Relations internationales de l’UJM, et Thomas Guillobez, Directeur des relations internationales de l’UJM.
Les deux universités s’engagent à poursuivre leurs actions conjointes en matière de coopération scientifique et d’excellence en recherche. Une plus grande mobilité du personnel enseignant et les étudiantes-chercheuses et étudiants-chercheurs est par exemple privilégiée, notamment grâce à l’organisation de colloques et de séjours de courte et de longue durée dans l’un ou l’autre des deux établissements. Il a été démontré que de telles activités favorisent souvent la réussite de propositions conjointes de subventions auprès d’organismes subventionnaires nationaux et internationaux.
Enfin, la mobilisation des connaissances sera aussi mise de l’avant : on favorisera de meilleurs échanges des résultats de recherche, une diffusion générale plus efficace de ceux-ci, ainsi que la promotion des occasions de formation à l’international pour les étudiantes et étudiants, chercheuses et chercheurs postdoctoraux et le personnel clinique de chaque établissement.