Les textes publiés sont de trois types
- Collectifs ou dossiers regroupant des études sur un auteur ou une thématique
- Articles autonomes traitant d'une problématique particulière
- Entrevues avec des écrivains
Tous les textes font l'objet d'une évaluation par les pairs. La direction et le comité de rédaction reflètent la richesse et la diversité des approches que nous accueillons.
La revue est indexée par le MLA. Elle figure notamment dans les signets de la Bibliothèque Nationale de France et le répertoire de l'Urfist. Elle reçoit en moyenne quelque dix mille visiteurs par mois, provenant de tous les points du globe.
Comité de direction
- Eftihia Mihelakis, directrice, Université de Brandon
- Lucie Hotte, éditrice et directrice du CRCCF, Université d'Ottawa
- Olivier Lagueux, responsable des publications et de la recherche, CRCCF, Université d'Ottawa
Comité de rédaction
- Kirsty Bell, Université Mount Allison
- Mylène Dorcé, Université de Victoria
- Élise Lepage, Université de Waterloo
- Joëlle Papillon, Université McMaster
- Karianne Trudeau-Beaunoyer, chargée de cours et éditrice
Bio-bibliographies
Kirsty Bell est professeure agrégée à l’Université Mount Allison au Nouveau-Brunswick où elle enseigne des cours de langue et des cours de littérature du Québec et de l’Acadie. Ses recherches portent principalement sur les rapports textes-images dans la littérature québécoise. Elle s’intéresse en particulier à la représentation des artistes en littérature et aux façons dont l’art visuel peut être un outil interprétatif pour la fiction et pour les essais littéraires. Elle est l’autrice d’articles et d’essais sur plusieurs artistes et auteurices, tels Marie-Claire Blais, Daniel Canty, Alexandrya Eaton, Sergio Kokis, Gabrielle Roy, Anna Torma et Louise Warren.
Après avoir travaillé pendant près de 20 ans comme stratège en communications au sein de divers ministères fédéraux, Mylène Dorcé a obtenu un doctorat en littératures des Caraïbes francophones au féminin en mai 2022, à l’Université de Montréal. Depuis juillet 2023, elle travaille comme professeure adjointe de littératures et cultures africaines et caribéennes, au Département de français et d’études francophones de l’Université de Victoria (Colombie-Britannique). Elle a publié plusieurs articles et chapitres de livres portant sur les rôles et les fonctions des personnages féminins dans les œuvres caribéennes et africaines, sur les thèmes communs à la littérature québécoise migrante, ainsi que sur les caractéristiques de l’écriture de soi chez les écrivaines issues de la Francophonie. M. Dorcé travaille présentement à la publication d’une monographie intitulée Les JE(u)x de l’écriture de soi chez les écrivaines des Caraïbes francophones : affirmation, rébellion, transgression.
Élise Lepage est professeure agrégée à l’Université de Waterloo (Ontario). Ses travaux portent sur l’imaginaire géographique et le paysage dans la littérature québécoise et de la francophonie canadienne. Spécialiste de poésie contemporaine, elle mobilise des approches géopoétique, écopoétique et écoféministe. Elle a entre autres publié une monographie, Géographie des confins (2016), co-dirigé deux collectifs et plusieurs dossiers de revues savantes (Études littéraires, Voix & Images, @nalyses, etc.). Depuis plusieurs années, elle dirige la collection « Voix savantes » aux Éditions David à Ottawa et est membre du comité éditorial des revues @nalyses et Québec Studies. Elle a été présidente de l’Association des littératures canadienne et québécoise (ALCQ, 2017-2019) et membre de jury de plusieurs prix littéraires et académiques.
Joëlle Papillon est professeure agrégée à l’Université McMaster (Ontario), où elle enseigne les littératures québécoise, autochtone et franco-canadienne. Elle s’intéresse à la littérature des femmes contemporaine, à laquelle elle a consacré deux ouvrages (Désir et insoumission chez Arcan, Millet et Ernaux, Presses de l’Université Laval, 2018 ; Nelly Arcan : trajectoires fulgurantes [codir.], les éditions du remue-ménage, 2017). Ses recherches actuelles portent sur les œuvres récentes d’autrices autochtones et québécoises, dans une perspective féministe décoloniale.
Karianne Trudeau Beaunoyer vit à Tiohtià:ke/Mooniyang/Montréal (Québec), où elle écrit et enseigne. Titulaire d’un doctorat en littérature et d’une maîtrise en recherche-création de l’Université de Montréal, elle est chargée de cours, éditrice et accompagnatrice littéraire, en plus de mener différents projets d’écriture, de création et de recherche. Intitulée La lumière produit du noir, sa thèse s’est penchée sur la pratique littéraire de l’autoportrait et sur les liens que noue la littérature avec les autres arts. Elle a codirigé, dans la collection « Indiscipline » du Groupe Nota bene, l’ouvrage collectif Se faire éclaté·e : expériences marginales et écritures de soi. Rédactrice en chef et membre du comité de rédaction de la revue Moebius de 2017 à 2019, elle a aussi assumé la refonte et la direction littéraire de la collection « Poèmes » des éditions Triptyque de 2016 à 2020. Au Quartanier, elle est l’autrice de Je suis l’ennemie (prix Émile-Nelligan en 2020).
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