Le classement mondial des universités 2024 produit par Quacquarelli Symonds (QS) en matière de durabilité a été publié aujourd’hui. L’Université d’Ottawa a atteint le 72e rang – faisant ainsi un bond de plus de 130 places par rapport à l’an dernier – de ce palmarès qui compte 1 403 universités de 95 pays.
Le cadre d’évaluation de la durabilité de QS se rapporte aux moyens qu’emploient les établissements pour s’attaquer aux enjeux planétaires les plus pressants. Il permet de classer les universités en fonction des données utilisées dans leclassement mondial des universités QS, lequel mesure la productivité de la recherche en lien avec les 17 objectifs de développement durable des Nations Unies et les résultats des sondages sur la réputation.
Dans cette deuxième édition du classement mondial des universités QS en matière de durabilité, trois catégories sont évaluées :
·Impact social (employabilité, égalité, santé et bien-être, impact de l’éducation et échange de connaissances)
·Impact environnemental (formation, recherche et durabilité sur le plan environnemental)
·Bonne gouvernance (nouvelle catégorie)
« L’Université d’Ottawa s’est engagée à adopter des pratiques durables pour offrir aux générations futures un monde où elles pourront vivre et s’épanouir », assure Jacques Frémont, recteur et vice-chancelier de l’établissement. « Nos étudiantes et étudiants d’aujourd’hui et de demain n’en attendent pas moins de nous. »
En fait, la durabilité est l’un des grands piliers de Transformation 2030, le plan faisant état de la vision stratégique et des priorités de recherche de l’Université d’Ottawa. Les résultats obtenus au classement QS témoignent de notre engagement de longue date en matière de durabilité. L’Université est déterminée à réduire sa consommation d’énergie sur le campus. Pour ce faire, elle intègre une perspective climatique à ses programmes et renforce la résistance de ses infrastructures aux changements climatiques. Elle déploie également les efforts nécessaires pour atteindre la carboneutralité d’ici 2040 et devenir un campus sans déchets. Qui plus est, par l’entremise de son Bureau du développement durable, l’Université d’Ottawa mène une série d’initiatives pour placer la durabilité au cœur de ses activités. Par exemple, en 2010, elle a été le tout premier établissement d’enseignement supérieur ontarien à bannir la vente d’eau embouteillée afin de réduire la quantité de déchets en plastique. Et l’année dernière, elle s’est engagée à retirer la totalité de ses investissements directs (au plus tard en 2023) et de ses investissements indirects (au plus tard en 2030) dans le secteur des énergies fossiles.
L’Université d’Ottawa se classe 45e dans la catégorie de la gouvernance, qui comporte diverses dimensions : processus décisionnel ouvert, culture organisationnelle éthique globale, représentation étudiante au sein des instances dirigeantes universitaires, et transparence financière. Elle fait particulièrement bonne figure dans la catégorie de l’impact social, se hissant au 68e rang en général et au 50e rang pour l’indicateur « Échange de connaissances », qui évalue les partenariats de recherche universitaires établis entre les régions développées et en développement pour diffuser les connaissances et faire progresser l’éducation, ainsi que les retombées bénéfiques des universités sur leur propre communauté.
Ces résultats remarquables illustrent l’influence positive qu’exerce l’Université d’Ottawa en tant que moteur de changement et modèle au chapitre de la durabilité et de la bonne gouvernance à l’échelle locale, nationale et mondiale.
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