Félicitations à nos diplômées et diplômés!

Nos finissantes et finissants tracent leur propre voie, que ce soit en recherche, dans les arts, en affaires, en sciences ou dans d’autres domaines, et s’apprêtent à faire passer leur éducation et leur expérience universitaire au niveau supérieur afin de créer un avenir encore plus radieux. Chaque étudiant et chaque étudiante de l’Université d’Ottawa a une histoire unique à raconter au sujet du chemin parcouru jusqu’à la collation des grades.

Nous vous présentons les histoires, les réalisations et les passions de certaines des personnes qui font partie de la promotion de 2024. À l’aube de nouvelles aventures, nos diplômées et diplômés font preuve d’optimisme, d’innovation et de collaboration en vue de créer un avenir plus radieux pour tous et toutes. Félicitations à tous les diplômés et à toutes les diplômées!

Pendant tout son baccalauréat en sciences de l’activité physique à l’Université d’Ottawa, Mohamed Aboudlal a maintenu une impressionnante moyenne pondérée de 9,9. En plus d’exceller en classe, il a brillé par sa participation active à titre d’assistant de recherche au laboratoire Adamo auprès de la D^re Kristi Adamo, à l’Université d’Ottawa, et au Laboratoire de physiologie de l’exercice et de santé cardiovasculaire après de la D^re Jennifer Reed, à l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa, entre autres.

En plus de s’investir dans ses études, Mohamed s’est beaucoup impliqué bénévolement, notamment dans le cadre de projets comme le programme de jumelage en sciences de l’activité, les Jeux olympiques spéciaux de l’Ontario et le Marathon de sport de Motionball. Il joue aussi un rôle actif à la mosquée et dans sa communauté, qu’il appuie chaque fois qu’il en a l’occasion, tout particulièrement pendant le ramadan, où il participe à l’organisation de l’iftar.

Ses excellents résultats et son engagement communautaire lui ont valu toute une série de bourses et distinctions, comme la Bourse de la chancelière de la Faculté des sciences de la santé de l’Université d’Ottawa, la Bourse de recherche de 1^er cycle du CRSNG (qu’il a obtenue à deux reprises), le Fonds Médéric-Montpetit pour des études de premier cycle et la Bourse Marion-Dewar de l’OCISO. Enfin, Mohamed a été très touché d’apprendre qu’il avait été choisi comme major de promotion 2024 de la Faculté des sciences de la santé.

Sa détermination à promouvoir l’adoption de modes de vie sains se voit dans le travail qu’il fait bénévolement comme conseiller en activité physique au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario, où il aide les enfants à intégrer l’activité physique dans leur vie pour atteindre leurs objectifs de bien-être.

Dans le cadre de son stage à l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa, Mohamed s’est penché sur la relation entre l’activité physique et la santé cardiovasculaire. Aujourd’hui, il y mène des épreuves d’effort et y effectue des analyses de données, toujours de façon bénévole. Il a à cœur de mieux comprendre le rôle de l’activité physique et de déterminer la prescription optimale d’exercices dans différents contextes de réadaptation cardiovasculaire.

Guidé au fil de son parcours à l’Université d’Ottawa par la D^re Kristi Adamo, Mohamed voudrait faire carrière dans le domaine de la chirurgie orthopédique et s’intéresse tout particulièrement à l’oncologie orthopédique. Cet automne, il poursuivra ses études à la Faculté de médecine Termety de l’Université de Toronto, sur le campus de Mississauga. Et même s’il entame un nouveau chapitre de sa formation, il reste déterminé à promouvoir l’intégration de l’activité physique au quotidien et l’adoption de saines habitudes de vie. Une fois médecin, il espère pouvoir pratiquer au sein de pays comme le Qatar ou les Émirats arabes unis et maintenir son implication communautaire.

Sapphira Thompson-Bled est une étudiante appliquée aux champs d’intérêt variés.

Elle a commencé ses études à l’Université d’Ottawa, où elle a obtenu un diplôme de premier cycle en sciences sociales spécialisé en études internationales et en langues modernes.

Puis, elle a fait une maîtrise en affaires internationales à la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’Université de Toronto afin d’explorer davantage les relations internationales et le droit. Enfin, elle s’est inscrite en droit à l’Université d’Ottawa en vue d’obtenir son diplôme de Juris Doctor.

Opter pour deux programmes distincts – la maîtrise et des études en droit – lui a permis de s’investir à fond dans les deux disciplines, un choix qui témoigne de sa volonté de se doter d’une formation complète. Son parcours à la Faculté de droit a d’ailleurs été marqué par un échange universitaire fort enrichissant de cinq mois à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, où elle a étudié divers domaines du droit en français, notamment le droit maritime, le droit de l’urbanisme et le droit économique international.

À son retour à la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, Sapphira s’est illustrée dans diverses activités et fonctions, notamment à titre de coprésidente, puis vice-présidente aux finances de l’Association des étudiants noirs en droit. Elle a aussi participé au Concours Walsh sur le droit de la famille comme membre de l’équipe de l’Université d’Ottawa (qui a remporté la deuxième place au classement général l’an dernier) et a occupé la fonction de représentante des intérêts des étudiantes et étudiants du programme de common law en anglais de l’Université d’Ottawa auprès du Conseil de l’Association du Barreau de l’Ontario.

Sapphira est heureuse d’avoir eu la chance d’être mentorée par un juge dans le cadre du Programme de mentorat en droit pénal au palais de justice de l’Université d’Ottawa. « J’étais jumelée avec le juge Trevor Brown. J’assistais à certaines causes qu’il entendait, puis j’en discutais avec lui par la suite. » Elle a toujours gardé le contact avec lui.

Sapphira a également fait des stages pendant ses études en droit : un auprès de Wealth Simple, où elle effectuait des recherches sur le droit de la protection du consommateur et de la concurrence, puis un autre pour le cabinet Russomanno Criminal Law, où elle participait à l’examen de la divulgation, aux recherches juridiques et aux entrevues avec les cautions potentielles, et observait les avocates et avocats au tribunal. « Le programme de stages m’a vraiment aidée à cerner les domaines que j’aimais et ceux qui n’étaient pas pour moi. Je le recommande vivement aux étudiantes et étudiants en droit. »

Si elle est prête à entamer son stage au sein du Service des poursuites pénales du Canada, elle n’est pas fermée à l’idée de poursuivre ses études en vue d’obtenir, peut-être, un doctorat. Armée d’une multitude de connaissances et de sa volonté d’exceller, Sapphira est prête à relever les défis inhérents au domaine de son choix.