L’avenir de l’apprentissage est inclusif, adaptatif et interconnecté

175e anniversaire
Technologie
Éducation
Couloir rempli de fenêtres sur le campus avec des étudiants travaillant sur des bureaux et des chaises.
Kevin  Kee et son équipe accélèrent l’adoption des technologies numériques pour l’enseignement et l’apprentissage afin de rendre l’Université d’Ottawa plus agile, plus accessible et plus interconnectée.

« La pandémie a obligé notre établissement à se concentrer sur sa véritable mission : l’apprentissage étudiant », affirme Kevin Kee, doyen de la Faculté des arts et conseiller principal, Stratégie numérique et innovation pédagogique. « La COVID-19 nous a rappelé que l’expérience d’apprentissage est au cœur de nos activités, et nous avons dû réagir promptement pour concevoir et mettre en place de nouvelles méthodes d’enseignement, d’apprentissage et de réseautage. Tout le monde est étonné de voir à quelle vitesse les universités se sont adaptées. » 

Dans cet épisode de notre série sur le 175e anniversaire, nous ne nous reviendrons pas sur le passé, mais évoquerons plutôt un avenir où l’Université d’Ottawa se trouve à l’avant-garde d’un renouveau dans la conception, l’élaboration et la prestation de l’enseignement supérieur. « Nous pouvons mettre à profit les technologies numériques pour rendre l’éducation plus accessible, plus inclusive et plus personnalisée que jamais, estime le doyen. Et nous croyons que l’Université d’Ottawa est prête à amorcer ce virage. » 

Kevin Kee dirige une équipe interdisciplinaire composée de membres du corps professoral, du personnel de soutien et de la population étudiante qui s’emploient à mettre en place une infrastructure destinée à stimuler l’innovation numérique dans l’apprentissage sur le campus et à l’extérieur. 

« La mission que le recteur, Jacques Frémont, nous a confiée est simple, mais ambitieuse : positionner l’Université d’Ottawa comme chef de file de l’innovation numérique en apprentissage à l’échelle nationale et internationale. » Kevin Kee et son équipe s’intéressent aux pratiques exemplaires et aux percées qui ont le plus grand potentiel à l’Université, au pays et dans le monde entier. Ils consultent le personnel enseignant et les groupes du campus pour comprendre leurs besoins et leurs aspirations et déterminer comment la technologie peut contribuer à la mission première de l’enseignement supérieur, qui est de rapprocher les gens, de les exposer à différentes idées et de leur ouvrir une porte sur le monde.  

« Le corps professoral compte déjà des adeptes de l’innovation qui se servent des technologies numériques et de l’IA pour enrichir l’expérience d’apprentissage de leurs groupes, affirme le doyen. Notre tâche initiale consiste donc à les appuyer et à faire de cette initiative une priorité pan-universitaire. Restez à l’affût : nous lancerons prochainement un appel de propositions, assorti d’un nouveau fonds d’innovation, pour faire de notre établissement une figure de proue de l’enseignement. Nous sommes à la recherche de projets qui visent à mettre la technologie au service de l’apprentissage de sorte qu’il soit plus accessible, plus agile et plus interconnecté. » 

Regardez notre entrevue avec le doyen de la Faculté des arts : il explique les menaces et les possibilités qui accompagnent les nouvelles technologies comme ChatGPT, décrit l’incroyable capacité d’adaptation dont les universités ont fait preuve pendant la pandémie, et nous rappelle que l’accessibilité de l’éducation fait partie de l’ADN de notre établissement.