En dépit d’une concurrence qui s’intensifie – quelque 1 743 établissements étaient évalués cette année comparativement à 1 400 l’an dernier – l’Université d’Ottawa est passée d’un résultat global de 84,4 en 2024 à 87,3 en 2025. Voilà qui illustre les efforts que déploie notre établissement au chapitre de la durabilité et de l’innovation.
Ces résultats traduisent bien l’approche holistique de l’Université d’Ottawa à l’égard des grands défis de notre époque – une approche d’ailleurs en phase avec les objectifs de développement durable des Nations Unies. Comme le souligne l’organisation QS, ce classement montre comment s’y prennent les établissements pour mettre le savoir, la recherche et la gouvernance au service d’un avenir durable.
Parmi nos réalisations dans les sous-catégories du classement :
- Échange de connaissances : 63e rang mondial
- Bonne gouvernance : 64e rang mondial (indicateurs connexes : éthique, pratiques d’embauche, transparence, prise de décisions, etc.)
- Impact social : 74e rang mondial (cinq indicateurs agrégés : égalité, échange de connaissances, impact de l’éducation, employabilité et perspectives, et santé et bien-être)
« À l’Université d’Ottawa, la durabilité n’est pas qu’un objectif : c’est une responsabilité que nous assumons délibérément au nom de notre communauté étudiante et en celui de notre société, affirme Jacques Frémont, recteur et vice-chancelier de l’Université d’Ottawa. En adoptant notre vision stratégique, Transformation 2030, nous nous sommes engagés à agir concrètement à ce chapitre pour avoir des retombées à long terme. »
Les résultats de l’Université notamment au regard de l’échange de connaissances, de la bonne gouvernance et de l’impact social reflètent notre rôle à titre de moteur de changement. En faisant appel à la recherche et à l’éducation pour nous attaquer aux problèmes complexes qui transcendent nos frontières, nous cultivons l’équité, l’innovation et un avenir durable. Notre leadership se voit par exemple à nos engagements d’atteindre la carboneutralité d’ici 2040 et de devenir un campus zéro déchet, ainsi qu’à d’autres initiatives porteuses, comme le désinvestissement des combustibles fossiles et l’introduction de pratiques d’avant-garde pour la réduction des déchets.
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